Le chapeau de ma mère (1)
Datte: 17/06/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Doogy Woogy, Source: Xstory
... toute seule. Là encore, aucune inquiétude ne troubla quiconque et après quelques séances, je fis mes adieux au praticien.
Mon adolescence se passa sans l’ombre d’un souci et les collègues de ma mère étaient effarés lorsqu’ils entendaient de sa bouche l’énumération de mes qualités et l’absence de symptômes typiques caractérisant cet âge là. Lorsque nous croisions des amis dans la rue, j’écoutais parfois la longue litanie des parents qui se morfondaient sur l’avenir de leur progéniture et pouvait ainsi me faire une idée de ce qu’était un adolescent lambda. Effectivement, ma chambre était un modèle de rangement, ne sentait pas le fennec crevé depuis dix jours et j’aidais ma mère pour les travaux ménagers, sans qu’elle ait besoin de me le demander.
À cette époque là, je me passionnais pour les cultures amérindiennes. J’avais les cheveux raides et noirs et ma peau bronzait facilement : des traits que j’avais hérité de manière évidente de ma mère. Je décidais donc, pour ancrer de manière ostentatoire cette passion dans ma vie quotidienne, de me laisser pousser les cheveux. Ma mère râla les premiers temps. Mais puisque c’était bien la seule excentricité que je me m’autorisais, elle abandonna les remontrances à cet égard. Quand ma chevelure commença à atteindre une belle longueur, elle reconnut que ce look m’allait bien. J’étais un bel indien, et si cette coiffure permettais de m’affirmer, elle ne voyait aucune raison de protester.
Bien que je n’en sache rien encore à cette ...
... période de ma vie, ma mère continuait d’assouvir ses désirs. C’était d’autant plus facile pour elle qu’étant devenu autonome, elle pouvait se permettre de me laisser quelques heures. Ses parties de jambes en l’air se passaient toujours en mon absence. Elle ne tenait pas à ce que je sois témoin de ses folles chevauchées. Étais-je naïf et innocent ? Même lorsqu’elle prétextait d’une soirée avec ses copines du boulot pour revenir au petit matin, je ne me doutais de rien. Mais j’étais bien trop absorbé par les études et mes livres pour me rendre compte que ma mère avait un appétit sexuel assez marqué. Et après tout, ce n’étaient pas mes oignons !
Je passais le bac avec la mention « les doigts dans le nez » mais n’avais pas d’idée précise de ce que je voulais faire ensuite. Les maths n’étaient pas ma matière de prédilection. Mes notes étaient plus qu’honorables mais je trouvais la matière d’un ennui mortel. Cela réduisait certes les champs du possible pour la fac mais ne m’aidait guère pour choisir. Mon intérêt pour les indiens semblait me diriger vers l’histoire et la géo, mais pour en faire quoi ? Prof ? Très peu pour moi : je ne me voyais absolument pas donner un cours devant des élèves qui, au mieux, somnoleraient pendant l’heure.
Suivant mon goût pour les livres je m’inscrivis à la fac de lettres et me promis d’utiliser cette année pour me faire une idée plus précise de mon orientation. J’avais certes aussi choisi cette fac pour son côté pratique : j’habitais à quinze ...