1. Le chapeau de ma mère (1)


    Datte: 17/06/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Doogy Woogy, Source: Xstory

    Ma mère, Véronique, avait à peine vingt ans quand je suis né et à peine vingt-deux lorsque mon père s’est barré. J’étais alors son unique amour ; je le suis toujours. Oh, bien sûr, des hommes sont passés dans son lit ensuite. Mais ils ne sont en général passés que par le lit. Et par son cul. Elle ne pouvait se permettre d’avoir un deuxième enfant. Financièrement d’abord, mais elle ne s’imaginait pas s’occuper seule d’un deuxième bambin. C’était bien assez compliqué ainsi. Elle a donc utilisé cette méthode contraceptive, cent pour cent naturelle et sans trop d’effets secondaires sur la santé : la sodomie !
    
    Et ce ne sont pas ces nombreux amants qui pouvaient s’en plaindre. Que des avantages, zéro inconvénient. Certes, certains ont bien tenté de s’accrocher un peu. Il faut dire qu’une nana qui offre son cul sans rechigner, c’était plutôt rare. Evidemment, il lui arriva parfois de manquer de vigilance et de s’enticher d’un partenaire. Heureusement, ceux qui souhaitaient s’accaparer la place et ceux dont elle commençait à s’éprendre n’étaient pas les mêmes. Mais au fil des années, elle se laissa de moins en moins surprendre par ses sentiments.
    
    Je grandissais dans cet appartement modeste où l’amour de ma mère était immense. N’ayant pas de père, en tout cas à portée de main, je me développais dans cet univers bancal. Je n’avais pas de repère masculin, le père de ma mère étant décédé bien avant que je naisse. Il m’arrivait parfois de passer un week-end chez ma grand-mère ou ...
    ... chez ma tante, célibataire endurcie et peut-être échaudée par la mésaventure de son aînée. La sœur cadette de ma mère n’avait pas d’enfant et ne semblait pas particulièrement pressée d’en avoir, mais Catherine m’accueillait toujours les bras ouverts. Parfois des amies venaient chez elle et l’après-midi passait à vitesse grand V, enchaînant les parties de Monopoly ou d’autres jeux.
    
    J’étais un enfant sage et ma mère ne tarissait pas d’éloges à ce sujet, reconnaissante de lui éviter ainsi bien de complications. Cependant, malgré tout l’amour que je recevais, il y avait quelque chose qui boitait dans ma relation avec les autres. Je ne me mêlais que peu avec mes camarades de classe. Pas que ne le voulusse pas me joindre à leurs jeux, mais par rejet de leur part. Je ne connaissais pas la plupart de leurs codes, de leurs manières et j’étais ainsi le vilain petit canard. Puisqu’il en était ainsi, je me consacrais à mes devoirs, étudiais consciencieusement, ce qui m’éloignait encore plus des autres : je devenais le vilain petit canard intello.
    
    Quelques profs s’alarmèrent de cette mise à l’écart mutuelle. Je n’étais pas vraiment malheureux de la situation. Après tout, j’avais une famille aimante et les résultats scolaires n’incitaient aucunement à l’inquiétude. Ma mère m’envoya cependant consulter un pédopsychiatre – ou un terme dans ce genre – qui mit cette situation sur le fait que je n’avais pas pu faire mon complexe d’Œdipe, puisqu’en quelque sorte, l’image du père s’était tuée ...
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