Photos de famille (5)
Datte: 14/06/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Doogy Woogy, Source: Xstory
... soleil du soleil commença à piquer leur peau, elle l’attira sous les arbres dont l’ombre dévorait le fond de la plage. Elle trouva Anton subitement bien moins timide. Elle se laissa fondre sous ses mains, et s’il la dépassait d’une bonne vingtaine de centimètres, c’est avec délectation qu’elle en accueillit autant en elle.
Si Anton n’était pas grand amateur des préservatifs ; il se félicita – outre les raisons sanitaires – d’en avoir enfilé un : il n’aurait pas tenu très longtemps, tant l’entrefesse de sa nouvelle amie avait les qualités du paradis. Ils passèrent la journée à aller et venir entre la mer et la plage. Il se crut priapique tant son désir était devenu insatiable. Il lui sembla qu’ils s’étaient endormis tous les deux un instant et l’un dans l’autre, succombant à cette débauche d’énergie.
Ils essayèrent un beau catalogue de positions. Il appréciait tout particulièrement celle où, allongée et lui offrant ses fesses parfaites, il venait la couvrir. Elle était si menue qu’il avait peur de lui faire mal ; il redoublait alors d’attentions, la blottissait contre lui. Elle aussi adorait cette position où elle accueillait Anton dans le simulacre d’une soumission qu’il ne concevait pas de lui imposer, au point parfois qu’elle projetait son popotin en arrière, comme pour ...
... signifier, exiger qu’il la pénètre avec un peu plus de sauvagerie.
À partir de cette journée, ils ne prirent plus qu’une seule chambre. Ils s’empressèrent d’aller dans un dispensaire et de faire un test sérologique pour se dispenser de latex. Ils fêtèrent le résultat de la seule manière possible : Kanyaphat sut que cette fois-ci elle allait prendre cher, mais plus la note serait salée plus elle en redemanderait.
Anton, assis sur son lit, repensait à ces premiers jours, comme pour réviser son histoire avant de la raconter à son entourage. Bien évidemment, il occulterait le passage de la plage dont le simple souvenir avait suffi à transformer son caleçon en chapiteau. Alors qu’il n’était qu’à moitié sorti de sa rêverie, il entendit du bruit dans la cour. Regardant par la fenêtre, il constata qu’une voiture inconnue était garée. Hélas, il avait été trop lent et ne put voir qui arrivait à cette heure-ci. On toqua à sa porte.
─ Qui est là ? demanda-t-il en rabattant de justesse son peignoir pour masquer la bosse inopinée.
Une tête passa par l’entrebâillement.
─ Hey, Gwenaëlle !
Ils s’élancèrent l’un vers l’autre et se serrèrent dans leurs bras. Anton se rendit aussitôt compte de l’erreur qu’il venait de commettre.
─ Dis donc, frangin, je te sens très heureux de me revoir…