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Photos de famille (5)
Datte: 14/06/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Doogy Woogy, Source: Xstory
... touristes à l’égard de la jeune guide, qui le plus souvent tenaient de l’abordage d’un navire par des flibustiers. Ils finirent par retourner à l’hôtel. Elle l’invita à venir boire une dernière bière dans sa chambre. Elle n’entendait pas précipiter la décision d’Anton, mais seulement lui permettre d’entrevoir que sa féminité n’était pas que de façade et qu’elle se révélait dans les moindres détails quotidiens. Quand il se leva pour prendre congé de son hôte, il se rendit compte qu’il avait ingurgité un peu trop d’alcool car il faillit s’étaler de tout son long. Il franchit la porte et allait souhaiter une bonne nuit à Kanyaphat quand il se demanda où était sa chambre. ─ Attends, je t’accompagne. Je ne voudrais pas que tu te perdes en chemin. ─ Jamais je n’aurais imaginé un jour avoir besoin d’une guide pour retrouver ma chambre ! plaisanta-t-il. Ils arrivèrent devant la bonne porte. Ils s’embrassèrent sur la joue et se souhaitèrent une bonne nuit. Avant de refermer l’huis, Anton regarda la guide s’en aller et se rendit compte que ses yeux s’étaient naturellement portés sur son postérieur. Il faillit la rappeler, mais elle avait déjà tourné dans le couloir. Il était un peu saoul et pensa qu’attendre la prochaine occasion serait préférable. Ils se retrouvèrent le lendemain devant le buffet pour le petit déjeuner. Elle lui proposa de manger en prévision d’une longue journée s’il voulait bien l’accompagner. Il nota qu’elle n’avait pas utilisé de terme « suivre ...
... » et qu’elle ne jouait plus vraiment au guide. Elle voulait l’emmener dans une crique isolée et paradisiaque que les touristes laissaient de côté car nécessitant presque deux heures de marche. Ils arrivèrent sur cette plage, grande comme un timbre mais belle comme une image de carte postale. Encastrée entre deux pans de collines, un sentier escarpé mais sans difficulté y donnait accès. Un ruisseau qui n’avait pas eu le temps de devenir une rivière dévalait la pente opposée et délimitait le sable de la base de la colline. Leurs pieds étaient les seuls, depuis des jours et peut-être des semaines, à laisser des traces sur cette étendue de sable blanc. Ils étendirent leur serviette et coururent vers l’eau limpide. Elle le devançait, et il ne put s’empêcher de constater qu’elle avait cette façon typiquement féminine de courir. Il remarqua par la même occasion que son regard se portait une fois encore sur le bas de son dos, et cette fois ce n’était pas l’alcool qui lui jouait des tours. Elle portait un maillot de bain blanc que les éclaboussures commençaient à rendre légèrement transparent. Dans son short, il sentit une déformation nullement professionnelle s’opérer. À propos d’opération, il se demanda où Kanyaphat pouvait camoufler ce qui la différenciait encore des autres femmes, tant sa silhouette ne trahissait aucunement la présence incongrue d’un organe dont il n’aurait jamais deviné l’existence si elle ne lui en avait touché un mot. Ils nagèrent tranquillement une ...