1. Doux délire


    Datte: 14/06/2020, Catégories: fhhh, extraoffre, fsoumise, soubrette, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, Oral fgode, aliments, tutu, fsoumisah, Auteur: Achille, Source: Revebebe

    ... délices gastronomiques disposés tel un tableau de peintres hyper réalistes tels que Bodin ou Bowen, méritait qu’on l’admire un instant. Nous reculâmes de quelques pas pour mieux apprécier cette nature pas si morte, et Bernard et Paolo voulurent prendre une photo avec leur portable, ce que je leur interdis en leur expliquant que Véronique et moi étions ensembles depuis bientôt deux ans, et que pour des raisons de discrétion, je les priais de ne jamais faire mention de cette soirée. Je savais pouvoir leur faire confiance.
    
    Deux heures que tu étais à notre service, plus émoustillée par la situation que vraiment excitée, à part les moments où j’enclenchais les boules magiques, ou ceux où tu te caressais. Il était temps de passer aux choses sérieuses…
    
    — Bon appétit mes amis. Ne vous privez surtout pas de manger et de toucher notre servante d’un soir.
    
    Nous commençâmes à manger avec nos doigts. Paolo entama le saumon en le trempant dans la sauce qui recouvrait tes seins. Bernard te caressa le ventre avant de s’emparer d’une asperge en l’utilisant pour caresser ton clitoris délicatement avant de l’enfoncer dans ta chatte pour la recouvrir de sauce hollandaise. Je dus rapporter une tranche de foie gras alors que Rémy faisait rouler une tranche de jambon cru à même ta peau et que tu commençais à gémir. Quant à moi je te remis à l’ordre plusieurs fois pour que tu ne bouges pas ni tes bras ni tes jambes. Tu aurais voulu te caresser, nous toucher…
    
    — Tu veux jouir ? Soit, mais ...
    ... uniquement sous nos caresses, et sans remuer avant que nous ayons terminé notre repas.
    
    Tous se mirent à te caresser tout en mangeant… Huit mains sur toi… Quatre paires d’yeux qui t’admiraient. Plus nous mangions et plus la surface de caresses augmentait. À un moment, nous fûmes tous les quatre à manger une asperge, caressant ton clito, pénétrant ta chatte tandis que nos mains s’occupaient de tes seins, de tes cuisses… Tu jouis plusieurs fois et tes orgasmes se faisaient plus intenses quand j’actionnais encore le subtil mécanisme des boules. Quand il ne resta plus que de la sauce, mayonnaise et autre gélatine, nous nous mîmes à lécher ton corps avec avidité, ton puits d’amour m’étant réservé. Quand tu fus presque propre, nous répandîmes du champagne et te léchâmes encore et encore tout en te caressant.
    
    Tu étais épuisée quand la sonnette de l’entrée retentit.
    
    — Véronique, va ouvrir… nue.
    
    Tu n’osas pas refuser, te dirigeas vers la porte d’une démarche chancelante et ouvris en prenant soin de ne montrer que ta tête, le reste de ton corps restant caché par le battant de la porte.
    
    Trois magnifiques jeunes filles firent leur entrée. Une blonde, une Africaine à la peau d’ébène et une sud-américaine basanée, et toutes trois dotées d’une magnifique poitrine. Leur apparition dans le salon fut acclamée par mes potes qui devenaient de plus en plus chauds et qui bandaient comme des ânes…
    
    — Mes amis, je vous félicite pour votre retenue et votre respect envers Véronique. ...