Doux délire
Datte: 14/06/2020,
Catégories:
fhhh,
extraoffre,
fsoumise,
soubrette,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
Oral
fgode,
aliments,
tutu,
fsoumisah,
Auteur: Achille, Source: Revebebe
J’avais organisé un dîner chez moi avec trois de mes meilleurs amis. Nous avions tous un goût prononcé pour le sexe mais étions très discrets au sujet de nos aventures. Jamais un nom n’avait filtré, ni un détail pouvant identifier notre partenaire. Pourtant ce soir-là, j’allais faire une exception en décidant de te présenter à mes amis, tout en t’assurant de leur discrétion absolue. Étant tous quatre issus du monde de la finance helvétique, le secret bancaire et la discrétion étaient fortement ancrés en nous.
Comme tu étais surprise d’être conviée à nos agapes toutes masculines, je t’ai simplement répondu que pour cette soirée-là, tu serais ma soumise et devrais te plier à tous mes désirs et toutes mes volontés. Je connaissais le dilemme qui sommeillait en toi… Être le centre d’attraction d’un groupe d’hommes t’effrayait tout en t’excitant au plus haut point. Nous avions déjà joué en toute intimité à certains jeux de soumission où tu devais accepter mes caprices, mais jamais encore nous n’avions fait l’amour avec d’autres. Pour ma part, la perspective de te prêter à d’autres hommes me répugnait, tant je tenais à toi. Mais tous deux étions attirés par l’exhibitionnisme, sans toutefois aller plus loin que de se faire de petites gâteries dans un parking ou sous une porte cochère.
La garantie que mes amis sauraient se tenir et respecteraient mes limites te rassura, mais tu voulais quand même en savoir plus quant au déroulement de la soirée. Je répondis par la négative, ne ...
... t’indiquant que la date, l’heure ainsi que l’habillement. Je te voulais chez moi jeudi à 18 h précise, habillée d’une mini-jupe noire, de bas résille noirs, de hauts talons et d’un chemisier blanc – tout sous-vêtement étant prohibé. Un petit tablier blanc avec des dentelles devait finir de te déguiser en soubrette.
Tu arrivas le jeudi avec vingt minutes de retard, une habitude chez toi ! Dès que je t’ouvris la porte je t’en fis la remarque, en te précisant bien que tu serais punie pour ta faute… en temps voulu. Tu avais revêtu un imperméable, mais une fois celui-ci enlevé tu avais appliqué à la lettre mes consignes. Tu avais vraiment l’air d’une petite bonne dans une famille bourgeoise. Je te demandai tout de suite de te pencher en avant afin de vérifier que tu ne portais pas de culotte. La vue de fesses nues m’excitait toujours et je dus me retenir pour ne pas les caresser, les écarter et y glisser ma langue. En lieu et place je t’administrai une bonne dizaine de claques sur les fesses pour te punir de ton retard.
Ensuite je t’ordonnai de t’asseoir sur une chaise, jambes bien écartées, afin de glisser dans ta chatte deux boules de geishas que j’avais achetées, boules munies d’un vibreur à piles à l’intérieur, qui s’enclenchait au moyen d’une télécommande. Pour faciliter leur mise en place, et parce que j’en avais aussi envie, je me mis à genoux pour te lécher le temps que ta grotte à plaisir s’ouvre et soit bien mouillée. La saveur de ta mouille m’excita et je me mis à ...