1. COLLECTION ZONE ROUGE. Mes origines allemandes. Saison I (3/5)


    Datte: 13/06/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... petite boule en haut de ma chatte qui en même temps que ma grand-mère évoquait sa jouissance a déclenché dans mon corps une petite onde bienveillante.
    
    C’était sympa, mais pas la boule dévastatrice qu’elle appelait un orgasme.
    
    - Ce premier soir, les filles avaient vu le geste de la soubrette envers le violon, je leur confirmais que c’était celui que j’avais apporté.
    
    Je leur ai parlé de celle qui ne parlait jamais, elle s’appelait Ingrid.
    
    J’ai ainsi appris qu’elle avait fait partie d’un réseau d'espionnage allemand ayant travaillé en France avant leur invasion en contournant la ligne Maginot en passant par la Belgique.
    
    Vers Lyon, les Français sont venus l’arrêter.
    
    Avant d’ouvrir la porte de sa chambre, sachant pourquoi ces hommes étaient là, elle s’est coupé la langue d’un coup de couteau pour ne pas parler.
    
    Amenée à l’hôpital qui avait un système de surveillance moins sophistiqué que les prisons, elle a réussi à leur échapper et passant par la Suisse, elle a rejoint l’Allemagne.
    
    Elle a reçu la croix de guerre des mains même du chef suprême.
    
    Il se dit que le Fureur aurait couché avec elle et en remerciement, il l’a fait amenée ici pour encadrer les filles comme nous.
    
    J’apprends qu’il faut que je m’en méfie, car elle donnerait père et mère pour ne pas se retrouver à recevoir les clients comme nous le faisons malgré son handicape l’empêchant de sucer.
    
    Le lendemain pendant une heure avant de recevoir mon premier client alors que les autres filles ...
    ... tapinaient déjà.
    
    Brigida avait parlé avec une personne influente qui la faisait venir dans son bureau et que nous ne voyons jamais et a obtenu que je joue de mon violon m’évitant les premières parties de jambes en l’air et limitant mon nombre de pénétration pour la soirée.
    
    C’est ainsi que pendant une année, j’ai évité toutes les tenues noires qui se sentaient prioritaires sur tous les autres.
    
    Le 1er septembre 1940 jour de mon anniversaire, j’étais opérationnelle auprès de ces messieurs depuis une année.
    
    La moitié du temps, nous recevions dans nos corps dix à quinze queues car la plupart venaient au bordel pendant leur permission, payaient, baisaient et retournaient au front.
    
    À Cologne, les trois premières années, nous les voyons régulièrement car après l’armistice signé avec Pétain, nos hommes étaient des forces d’occupation alors que les filles qui étaient sur le front de l’Est dès 1941 morflaient déjà plus que nous.
    
    De temps en temps, les filles méritantes chez eux venaient se reposer chez nous mais à la fin à l’Est ou à l’Ouest, c’était le même lot de bites que nos chattes recevaient.
    
    C’est à la fin de la deuxième année, le lendemain de mes 18 ans que dans la chambre voisine de celle où un simple soldat remercié lui aussi pour bravoure au combat me prenait en levrette qu’un coup de feu, s’est fait entendre.
    
    Les derniers clients partis, c’est dans notre chambre que le malheur venait de frapper.
    
    Greta avait refusé qu’un de ces salauds en noir lui ...