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COLLECTION ZONE ROUGE. Mes origines allemandes. Saison I (3/5)
Datte: 13/06/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... s’approchent, semblant faire une transaction avec elle, nous attendons avec ma copine main dans la main. Un étage et ils nous font entrer dans une des pièces qui vont devenir pendant de longues années le lieu où dès que l’on entre, ils viennent se servir de nos corps comme de vulgaires pompes à sperme. Dès la première fois, je suis passée dans les mains de ces soudards qui l’un m’a prise par la chatte en se servant de mon sexe sans aucun égard pour la femme que je suis. Pendant que l’autre se servait de sa ceinture pour fesser Hilde avant de la sodomiser. Ils ont tous fait sur nous au bout d’un moment, je ne pouvais dire combien de fois et par où j’avais été pénétrée. Mon sexe voire tout mon bas-ventre aspirait au repos que nous avons obtenu lorsque ces messieurs se sont rhabillés, reprenant dès qu’ils ont été en tenue impeccable, des postures d’hommes respectueux. Nous étions vautrées sur le lit lorsqu’ils sont venus devant nous ont claqué des talons le bras tendu avant de quitter la pièce. Hilde m’a expliqué lorsqu’ils faisaient cela devant nous, c’est qu’ils étaient persuadés qu’ils rendaient hommage aux deux petites chiennes pensant que nous adorons servir ces hommes de race pure. Hélas, ces hommes étaient tellement endoctrinés depuis des années qu’ils étaient persuadés que nous étions consentantes et que nous aimions cela. Dès qu’ils étaient petits leurs mères les avaient élevés dans le culte du fils et de l’homme tout-puissant. J’ai appris ...
... à mes dépens qu’elles avaient réussi à ce qu’ils haïssent les femmes. Pour une première, revenue dans la chambre avec ma copine et être passée dans la baignoire. J’apprends que ces officiers ont payé une bouchée de pain pour se servir de nos corps pour la soirée. Ils fêtaient la croix de guerre qu’ils avaient obtenue au combat et qui en prime leur donnaient droit à de petites chiennes, toutes de bonne famille comme nous. J’apprenais par là même que le « Fureur » aurait donné l’autorisation particulièrement à ceux habillés en noires de la SS que si une fille décédait une autre viendrait la remplacer et qu’ils pouvaient repartir en toute impunité. Pour eux, l’important c’était les enfants et leur race pure. J’ai à ce moment-là repensé ce que le dictionnaire voulait dire « fille à soldat », plusieurs fois par semaine, je passais dans la chambre avec un de ces hommes ne sachant pas si j’en ressortirais vivante. Dès ce soir-là, je me suis mise en couple avec Hilde. La façon dont elle m’a léchée la fente. S’occupant de mon clitoris, elle m’a permis de ne pas renier mon bas-ventre lorsque pour la première fois de ma vie une boule est montée du fond de mon corps. J’ai eu ce qu’elle m’a expliqué un magnifique orgasme. Pendant un an tout a tourné autour de ces chambres, celle où l’on dormait Hilde et moi et celle où ces soudards pénétraient et remplissaient nos corps. J’avais recommencé à mettre mes doigts dans mon vagin et moi aussi j’ai trouvé une ...