Petite pute pour daddies (1)
Datte: 11/06/2020,
Catégories:
Gay
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... raccompagnons. Je passe devant.
— Après vous ! ai-je complété.
— Non, non, je n’en ferai rien.
Et il m’a invité à le précéder en me mettant la main dans le bas du dos, sur les reins, pour me guider devant lui. Une main ferme... juste à la naissance des fesses... cela n’a duré qu’un instant.
On a fixé un premier rendez-vous mercredi après-midi.
Quand je me suis mis au bureau, il m’a fait remarquer la boîte de Kleenex qu’il y avait posée.
— Au cas où tu en aurais besoin ! m’a-t-il dit avec un large sourire et sa voix chaude.
Je ne savais pas si c’était du premier ou du second degré.
— Non, non, ça va aller.
Je devais être tout rouge encore.
— Peut-être une autre fois alors ?
Qu’est-ce qu’il croit ? Que je vais me masturber chez lui ? Allons au travail !
A la fin de cette première leçon, je suis rentré et, maman étant au boulot, je me suis foutu à poil direct devant le miroir de la salle de bain et je me suis branlé lentement en pensant à ce mec.
C’est un bon prof et j’ai vite progressé. Mais j’étais motivé. D’habitude, je flashe grave sur les gars de mon âge ou un peu plus vieux, mais pas sur les daddies... mais il est tellement canon.
Je le trouve un peu tactile. Mains dans le dos, main sur ma main pour la guider, épaule contre épaule quand je suis assis. Rien de déplacé, jamais... toujours à la limite, dans l’ambigüité, de quoi me faire fantasmer.
Un mercredi, il est arrivé un peu en retard.
— Excuse-moi. J’étais au sport. Je ...
... n’ai pas vu le temps passer. Tiens, installe-toi, commence ces exos... là ! Je vais me changer.
Il a laissé les portes ouvertes. J’ai entendu la douche. Alors je me suis approché discrètement.
Ouf ! Douche sans porte. Heureusement, il tournait le dos, sans quoi j’étais pris la main dans le pot de confiture... je suis reparti vite fait, emportant avec moi l’image du cul poilu et bombé, du dos et des bras musclés, le tout en mouvement pendant qu’il lavait sa tête. En passant devant sa chambre qu’il avait laissée ouverte, j’ai vu son slip par terre. Je suis entré impulsivement. Il était moite, trempé de sueur. Je l’ai sniffé. C’était bon. Je me suis demandé comment faire pour le lui piquer. Impossible. Quand j’ai entendu que l’eau cessait de couler, j’ai regagné ma place.
Naturellement, je bandais encore quand il est revenu et je me suis bien plaqué contre le bureau pour qu’il ne voit rien. Il portait juste une serviette-éponge blanche autour de la taille.
Concentre-toi, concentre-toi, me suis-je dit. Ne regarde pas.
Mais comment me détacher de ce torse athlétique, de ces pectoraux duveteux, gonflés à bloc et des abdos en tablettes de chocolat. Et ses cuisses de sprinter, couvertes de poils aussi, mais encore sombre celui-là. Ce mec est plein de testostérone.
— Vous êtes vachement musclé.
— C’est le sport. Ça te dirait de venir avec moi.
— Ben... ça a jamais été mon truc... faut que je demande à maman.
— T’es pas majeur ? Dans mon club, on peut essayer ...