Le manoir du péché (7)
Datte: 11/06/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Alainylon, Source: Hds
... sont arrondies autour du gland, et elle s’est mise à le téter comme s'il s'était agi d'un vrai. En même temps elle a soupesé les couilles factifs, les caressait du bout des doigts. Puis elle a enroulé le phallus de ses doigts et l’a branlé. Tout en faisant coulisser ses lèvres très rapidement sur le haut, en l’aspirant. Cela a duré un bon moment avant qu’elle est relevée la tête.
- J’ai répondu à votre question.
- Je n’en espérais pas tant.
- Je trouve la matière très agréable en bouche. Seul point faible et pas des moindres il n’y a pas le goût de l’homme en rut. Et les spasmes qui encouragent la suceuse d’aller plus loin dans la caresse.
Comme télécommander par un ange pervers, mes mains ont défait mon pantalon.
- Mais que faîtes-vous là ? Alain ! Fit-elle, le regard rivé sur la bosse que faisait mon érection sous mon slip.
- Annabelle m’a dit de ne surtout pas vous offenser. De satisfaire toutes vos exigences. Répondis-je en faisant tomber mon slip à mes chevilles.
- À oui ! Elle vous a dit cela… alors il ne faut pas la décevoir…
- À non, je n’y tiens pas ! Surtout pas, elle s’en prendrait à moi.
- Raison plus pour ne pas la froisser.
J’ai lu dans ses yeux du désir. Comme celui d’un animal qui a faim. Un long frisson est remonté le long de mon dos. Qui était loin de me déplaire.
- Viens, approche ! M’a-t-elle commandé. Passant du vouvoiement au tutoiement.
Elle s’est assise sur le lit. Puis elle m’a prise dans sa main. La serrant entre ...
... ses doigts comme pour en vérifier la fermeté. Elle s’est penchée en avant, tout en ouvrant sa bouche. Elle m‘a engloutit lentement, dodelinant de la tête et soufflant à mesure que ma verge disparaissait entre ses lèvres. Elle est parvenue à m’avaler presque en entier. Puis en salivant, elle s’est mise à me pomper, changeant de rythme et hoquetant chaque fois qu’elle s’étranglait.
Une onde délectable a prit alors possession de mes testicules. Qui se sont contractés violemment. Pour remonter jusqu’à ma verge, en traçant sur son passage un sillon de feu. Pour enfin se déverser dans sa bouche d’Adeline, sans que cette dernière s’affole. Je n’ai pas joui par à-coups, mais je me suis vidé simplement dans un flot continu.
Toujours assise au bord du lit, dans une posture impudique, les jambes écartées. Adeline m’a fixé avec un drôle de petit sourire, tout en passant le bout de sa langue sur ses lèvres.
- J’ai eu la conduite d’une belle pute, n’est-ce pas ? Dit-elle d’une voix rauque. Eh bien détrempe-toi mon beau. Les putes sont beaucoup moins vicieuses que moi. Elles se font tringlé pour du fric et bien moi non ! Tout bonnement parce que j’aime la baise. Cela dure depuis plusieurs années. Je veuille à ce que mon mari ne s’en aperçoive pas, car malgré mes demandes, il refuse de me baiser autant que je le désirerais. Alors je m’adonne au plaisir solitaire. Il m’arrive de m’enfermer dans les toilettes du travail et de savourer le plaisir que m’offrent mes doigts, que j’enfonce ...