Le manoir du péché (7)
Datte: 11/06/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Alainylon, Source: Hds
J’avais à peine franchis la porte de l’entrée du manoir que déjà Annabelle m’est tombée dessus.
- Vous tombez bien Alain, j’allais vous appelé. Je dois filler jusqu’à l’aéroport rejoindre mon mari. J’emmène les garçons. Pas la peine de nous attendre, nous rentrerons tard dans la nuit.
- Bien Annabelle. Vous désirez que je prépare la voiture.
- S’il vous plaît.
Vingt minutes plus tard, ils quittèrent le domaine. Comme le personnel était de congé, j’en ai profité pour faire la vaisselle, et passer un coup de serpillère sur les sols. Ceci fait je suis rentré à ma loge. Alors que j’étais en train de déjeuner la sonnerie du téléphone a résonné dans la pièce. À l’autre bout du fil, Annabelle.
- Alain, excusez-moi de vous déranger, mais je viens de me rappeler qu’Adeline, vous la connaissez.
- Non ! Je ne crois pas.
- Eh bien, elle doit passer au domaine pour y déposer Jérémie son fils. Qui doit passer les fêtes de fin d’année en notre compagnie.
Il serait possible que vous les receviez ?
- Oui bien sûr madame.
- Je peux compter sur vous ?
- Vous pouvez compter sur moi, Madame.
- Merci Alain. À plus ! Et elle a raccroché.
Heureusement pour moi, que je n’avais pas à m’absenter. Et il a fallut que je patiente près de quatre heure avant de voir le nez du capot devant la grille.
Il en est sortit de la voiture, une grande femme d'une quarantaine d'années dont le roux de la coiffure ne pouvait qu'être artificiel. Étant un expert en la matière, ...
... j‘ai remarqué tout de suite qu’elle possédé un cul ample. Moulait dans une longue jupe bleu nuit. Plus haut, sous un corsage de satin de la même couleur que le bas, une poitrine qui retombait un peu. Mais ce qui a juré chez elle c‘est-ce qu’elle portait à ses pieds. Des escarpins à talon très haut. Qui ne devait pas être l’idéale pour conduire. Ses mollets étaient gainés de nylon fumés. Avec une grosse couture qui soulignait ses courbes.
- Bonjour Madame.
- Adeline, je préfère. Je devine que vous êtes Alain.
- Oui Adeline ! Pour vous servir. On m’avait dit qu’un jeune homme au nom Jérémie devait vous accompagner.
- On vous a bien renseigné. Il dort sur la banquette arrière. Cela ne vous ennui pas de le transporter jusqu‘à sa chambre.
- Pas du tout madame, j‘y cours.
- Appelez-moi Adeline, je vous en pris.
- Je m‘excuse, Madame, enfin Adeline mais je dois m‘absenter le temps de mener le jeune homme jusqu‘à sa chambre.
- Je vous en prie. D’ailleurs je vais m’occuper de la valise.
- Mais Adeline.
- J’assiste…
- Bon alors, si vous voulez bien me suivre.
De retour de la chambre, j’ai proposé à Adeline un café. Elle a opté pour un thé. Alors que je voulais lui servir dans le salon, elle a assisté pour s’installer dans la cuisine. Où elle s’est assise devant la table.
- Vous désirez des petits gâteaux secs avec votre thé ?
- Non merci Alain. Je dois faire attention à ma ligne.
- Oh ! Si Madame me le permet, elle se puni pour rien. Vous êtes ...