1. L'autre, sur une plage aux Antilles


    Datte: 11/06/2020, Catégories: fhh, couleurs, couplus, vacances, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, couple+h, cocucont, Auteur: Matcalin, Source: Revebebe

    ... récif, je m’entends que le bruit des deux corps qui se frottent, leurs ventres qui se frappent, les gémissements de plus en plus ravis de ma douce, le souffle rauque de l’homme qui la besogne maintenant depuis plus de dix minutes.
    
    Je vois le gros sexe brun entrer et ressortir presque complètement de la chatte de ma petite épouse. Elle mouille abondamment, preuve de son excitation et de l’effet qu’il lui fait.
    
    Puis je vois ma douce moins passive maintenant, caresser le corps de l’homme, le prendre par les fesses comme pour l’enfoncer encore plus loin. Les râles de plaisirs arrivent de plus en plus forts de plus en plus rapprochés. L’homme accélère ses pénétrations. Ils vont jouir.
    
    Un long cri de femme comblée, le corps de Jo s’arque, soulève son amant pour l’avoir encore plus profond dans son minou. Aux crispations des fesses de l’homme, accompagnées de son râle de délivrance, je devine les giclées de sperme qui s’épanchent, abondantes, dans le ventre de ma femme. Sans me toucher, j’ai joui dans le sable chaud tellement mon excitation était alors arrivée à son paroxysme…
    
    C’était il y a longtemps…
    
    Ils sont restés enlacés. Lui dans elle, elle le gardant entre ses cuisses rondes. Puis je les ai vus se regarder et ma ...
    ... petite femme a ouvert la bouche et l’a collée à celle de l’homme. Leur baiser a été long, si long. J’en ai encore mal mais j’en bande encore en écrivant ce nous avons fait ce jour-là. Jamais nous n’avons osé recommencer.
    
    Puis l’homme repu de ma petite femme, après l’avoir prise une seconde fois devant moi et un dernier baiser d’amour, s’est relevé et est parti sans se retourner.
    
    Après un bain purificateur, nous avons remis nos vêtements et enlacés, en silence car ne sachant quoi nous dire, avons regagné notre voiture. Chez nous, dans notre lit, avant le retour des enfants, nous avons fait l’amour. Ma petite femme était déchaînée et j’en ai profité pour la visiter par la petite porte. Celle que rarement elle m’a permis de forcer. Sans doute a-t-elle alors pensé qu’elle avait des choses à se faire pardonner.
    
    Après, après seulement, nous avons parlé de ce qui s’était passé sur la plage déserte. J’ai dit à ma petite femme que pour moi cela avait été un acte d’amour. L’homme, m’a-t-elle dit, l’avait fait jouir si fort.
    
    Longtemps après, par la suite, il a été avec nous quand nous faisions l’amour. Quand Jo pâmée sous moi arquait son petit corps, parfois j’ai cru l’entendre prononcer « Oh, Gédéon, ouiiii… ouii… encore mon chéri ! » 
«1234»