1. L'autre, sur une plage aux Antilles


    Datte: 11/06/2020, Catégories: fhh, couleurs, couplus, vacances, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, couple+h, cocucont, Auteur: Matcalin, Source: Revebebe

    ... sa chatte avec impudence.
    
    — Oui, j’ai envie de ta grosse machine, viens sur moi, moi c’est Josette et toi mon chéri ?
    — Moi c’est Gédéon, t’es si blanche, t’es belle, tu as une belle coucoune, rose dedans !
    — Ton cocoro est gros, mets-le moi doucement, viens !
    
    Elle se fait cochonne ma chérie, elle a franchi le pas, s’apprête à faire l’amour avec un autre, un Indien à la peau noire. Elle a les yeux mi-clos et je devine qu’elle regarde cependant notre ami qui s’agenouille entre ses cuisses. Il baisse son short. Il ne porte rien dessous. Comme je le pensais, il a une bite longue et épaisse, noueuse aussi, car il a bien cinquante ans notre gaillard. Ma petite femme va la sentir passer. Elle qui a envie d’une grosse bite va être bien servie. J’espère qu’elle va bien jouir. Car avec moi, c’est rare.
    
    — Oh ! Elle est belle, bien grosse, mets-la doucement, mon chéri, ma petite chatte est pas habituée à une si belle queue.
    
    Jo me regarde alors que l’homme se couche sur elle. D’une main passée entre leurs deux ventres, je le vois qui se guide. Déjà son gros gland est en contact avec la vulve de ma douce. Pour l’aider, Jo ouvre largement ses jambes. Elle m’a tendu sa main et je la lui prends dans la mienne.
    
    Jo me regarde encore alors que le gros gland ouvre sa fente aux lèvres charnue et gonflée par le désir. Il se place devant l’entrée de son petit conin d’amour, sa petite chatte qui n’a connu que mon pénis depuis notre mariage. Je vois soudain ses yeux s’écarquiller, ...
    ... sa menotte serre fort la mienne. D’une brève poussée l’homme vient de la pénétrer. D’abord le gland épais qui distend ses chairs intimes. Puis le mâle pousse encore ses fesses en avant et la tige noueuse s’enfonce. Jo pousse un soupir rauque, un autre, puis un autre encore. D’une dernière poussée, l’homme vient de lui entrer toute la longueur de sa grosse verge. Trop excité sans doute pour lui laisser le temps de s’habituer aux dimensions imposantes de son membre, il la pistonne de suite, la baise à grands coups de reins. Sous lui, ma petite femme, les yeux fermés, concentrée sur les sensations que lui procure ce gros membre qui la prend, s’anime. Elle a lâché ma main, s’accroche au cou de l’homme qui la chevauche. Elle joint ses jambes derrière les reins de son amant pour mieux l’avoir en elle. Elle va à sa rencontre, décolle ses fesses du sable pour se l’enfoncer en plus.
    
    Ils baisent. Sont l’un à l’autre, moi je ne compte plus. Moi, je regarde et je bande. Je bande comme jamais cela ne m’est arrivé. Les grosses fesses noires, ceintes des cuisses blanches de ma douce s’élèvent, puis s’abaissent en cadence. Jo geint à chacune des poussées de l’homme. Gémissements plaintifs au début car elle avait mal, puis de ravissement maintenant.
    
    La tête nichée dans le creux de l’épaule de l’Indien, elle s’abandonne complètement, se livre toute entière à l’assaut fougueux de son amant improvisé.
    
    Nous sommes seuls sur la plage, tous les trois. À part le bruit des vagues frappant le ...