Baptême
Datte: 09/06/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
fête,
Oral
fgode,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... est maintenant majeur. Comme j’argumente sur mon désir de connaître et voir grandir son demi-frère (un beau bébé de 55 cm pour 4,5 kg à la naissance), elle tourne la difficulté en me proposant d’être son parrain. Je préférerais ma solution, mais ce que femme veut…
J’avoue que lorsque j’ai présenté Catherine à ma famille, je n’étais ni à l’aise, ni fier. Cependant, ma compagne était aux anges car elle adore les enfants ; de plus, elle a trouvé Catherine très sympathique.
Vient le jour de la cérémonie. Le baptême a lieu au cours d’une messe qu’un oncle de Catherine co-célèbre. Le chant d’entrée vient de débuter quand bébé garnit sa couche. Elle se rend à la sacristie pour le changer. Je l’y rattrape pour lui apporter le sac qu’elle a oublié. Elle commence à s’activer quand elle pouffe en me désignant un goupillon posé un peu plus loin. Devant mon air perplexe, elle me demande si je ne trouve pas que cela ressemble à un gode.
En lui répondant affirmativement (on ne peut le nier, avec son manche d’une vingtaine de centimètres couronné d’une boule métallique de cinq ou six centimètres de diamètre), me vient une idée soufflée probablement par un petit diablotin. Profitant du fait qu’elle a reporté son attention sur les fesses de notre enfant, je m’empare de l’objet pour le passer sous l’eau avant de l’enduire de crème pour bébé. Je m’accroupis derrière elle, trousse sa jupe et écarte sa culotte. Elle me demande d’être sage. Quand elle sent le contact de la boule sur sa ...
... chatte, elle proteste, rabat sa jupe, dit que je suis fou et m’ordonne d’arrêter. J’allais obtempérer, après avoir un peu continué pour la taquine ; néanmoins, ses protestations perdent de leur crédibilité quand celle qui les professe ne montre aucune ardeur pour se dégager, mais au contraire cambre les reins et écarte les cuisses. J’insiste donc avec un mouvement de vrille de droite et à gauche. La boule disparaît dans sa féminité ; quand elle atteint le fond de son puits d’amour, Catherine laisse échapper un « Oh ! ». Amenant la boule à l’orée de sa chatte, j’entreprends alors des allers et retours. Ça rentre comme dans du beurre. J’accélère le rythme. La respiration de Catherine s’accélère également.
Elle paraît bien partie quand un léger grincement annonce l’ouverture de la porte. J’ai juste le temps de rabattre sa jupe, abandonnant le goupillon où il est. Sa mère entre en nous demandant de nous dépêcher. Je me relève en tendant le tube de crème, comme si je venais de le ramasser. Catherine reprend contenance, bien qu’elle soit un peu rose. Le problème, c’est que sa mère ne repart pas, et reste pour aider sa fille à finir de changer bébé. C’est donc avec le goupillon planté en elle que Catherine regagne l’église.
La cérémonie dure 1 h 30 ; durant tout ce temps, j’admire son naturel. Seule sa manière précautionneuse de s’asseoir sur la pointe des fesses – et de temps en temps un petit geste qui doit lui permettre de remettre en place l’objet – sont révélateurs pour mes ...