Baptême
Datte: 09/06/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
fête,
Oral
fgode,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
La grossesse de Catherine s’est bien déroulée, mais elle a sonné le glas de son mariage. Quand il a pris connaissance de la nouvelle, son mari lui a révélé qu’il ne pouvait concevoir (en plus de son manque d’empressement au lit). Il lui a dit qu’il savait qu’elle voyait quelqu’un d’autre, que jusqu’à présent il ne disait rien car il comprenait qu’elle avait des besoins, mais qu’il se refusait à « assumer les retombées de sa libido » [sic]. En conséquence, il ne la gênerait pas et lui « rendait sa liberté pour qu’elle puisse ainsi se faire baiser autant qu’elle le souhaiterait » [re-sic].
– Elle –
Après mon divorce, mon bibliothécaire a voulu venir vivre avec moi. Je ne voulais pas briser son couple ; le mien suffisait. Comme il insistait, car il veut voir grandir notre fils, j’ai résolu de faire de lui le parrain.
Le grand jour, au début de l’office, mon bébé fait dans sa couche. Je vais le changer à la sacristie. Mon fripon m’apporte le sac que j’ai oublié. En voyant un goupillon, je ris bêtement, faisant remarquer que sa forme me faisant penser à celle d’un gode. Peu après, il soulève ma jupe et tire sur mon slip. Je sens un contact froid sur ma chatte. Je me rends compte qu’il m’a prise au mot et se sert du goupillon comme gode. Ce n’est vraiment pas le moment. Je lui dis de se tenir tranquille. Bien sûr, il s’en fout. Je devrais le repousser tout de suite, mais je le laisse un peu faire. Le « un peu » devient « beaucoup » et je n’ai bientôt plus la volonté de ...
... le faire cesser. Presque malgré moi, j’écarte les jambes. Le traître en profite pour pousser son avantage. Je sens le goupillon se frayer un passage. Il me le met à fond et me ramone.
Je monte quand Maman entre. Mon chéri se redresse pour me tendre un tube de crème, laissant le goupillon planté dans ma chatte. Maman nous presse et nous pousse vers l’église. J’aurais dû prétexter n’importe quoi pour m’attarder un peu pour le retirer, mais je suis comme tétanisée et n’en ai pas le réflexe. L’occasion ne se présentera plus. C’est donc avec ce fichu machin planté en moi que je vis l’entrée de mon fils dans la communauté chrétienne. Ce n’est pas ainsi que je l’avais envisagée… Je tremble à l’idée que quelqu’un remarque quelque chose ; ou pire, que ça tombe. Je dois le renfoncer de temps à autre et surtout faire attention en m’asseyant et ne poser que le bout des fesses sur le bord de la chaise. Et, de plus, le petit air goguenard de mon chéri – qui m’observe du coin de l’œil – m’énerve. Mais surtout, le frottement dans mon con ne me laisse pas de marbre. Je dois préciser que la boule n’est pas lisse : elle est creuse et percée de trous en forme de croix, avec une boursouflure là où les deux moitiés s’emboîtent. Chaque mouvement augmente mes sensations. Et Dieu sait que des mouvements, j’en fais ! En plus des remises en place, on se lève et s’assoit souvent pendant une messe ; et mon oncle qui me fait venir au micro plusieurs fois, sans compter le baptême lui-même…
Quand tout ...