1. Noël rouge


    Datte: 07/06/2020, Catégories: fh, hagé, prost, grossexe, hotel, voiture, Oral préservati, pénétratio, contes, Auteur: Forti, Source: Revebebe

    ... chaleur environnante. Je sors un préservatif dont je déchire l’enveloppe d’un geste précis pendant qu’il dégage son sexe. Je le branle un peu, mais ma tenue de Mère Noël à l’air de lui faire de l’effet. Rapidement, je le couvre du petit chapeau. J’ai toujours eu le sens du détail et j’en ai pris des rouges. Sa bite en tendue mais pas très longue ni épaisse. Il a tout du jeune cadre dynamique qui ne pense qu’à son boulot. Sa vie doit être un désert pour venir se faire vider les couilles alors que les bourgeois se préparent à aller à la messe de minuit. Je commence à le sucer avec application.
    
    Dans une autre vie, je partais aussi avec toute la famille dans nos habits de fêtes, emmitouflés dans des écharpes et des bonnets tricotés main vers l’église illuminée pour fêter la naissance du fils de Dieu dans un crèche, il y a deux millénaires.
    
    Je prends mon temps pour le sucer. Je lui ai pris 20 euros de plus, il en aura pour son argent et je vais profiter au maximum de sa voiture. Je suis prête à prendre une engueulade d’Al, mais je ne crois pas qu’il prendra la peine de sortir de son char pour ça.
    
    Je suis un peu écœurée par le goût de fraise. J’embouche son sexe et l’avale jusqu’aux couilles. Vu sa taille très raisonnable je n’ai pas de problème. Lorsque je me retire, je passe ma langue sur son gland. Il a l’air d’apprécier. Je continue à le sucer tout en soupesant ses boules. Sa tête bascule vers l’arrière, un râle rauque sort de sa bouche. Les « bonnes » choses ont ...
    ... une fin. Il va venir. Malgré le préservatif, je ne vais pas le laisser gicler dans ma bouche. Je me redresse et le finis à la main.
    
    Je ramasse ma pelisse sur ma poitrine et quitte à regret la chaleur bienfaisante. J’ouvre la portière et le laisse déculotté et le préservatif plein sur sa bite qui ramollit. J’avance rapidement pour reprendre ma place au bord du trottoir. Comme prévu, Al me jette un œil noir pour mes quelques minutes de trop mais il ne sort pas pour me le dire en face.
    
    Trois autres voitures passent sans s’arrêter. Sans doute des voyeurs venus se rincer l’œil pour pas cher et s’exciter avant leur réveillon. S’ils n’arrivent pas à draguer en boîte, nous les reverrons peut-être plus tard dans la soirée.
    
    Une vielle guimbarde fumante et bringuebalante arrive dans un bruit de ferraille. Les vitres sont complètement embuées, voire givrées. Sur le devant un coup de main rapide a dégagé quelques centimètres carré de vitre pour permettre au conducteur de ne pas aller emplafonner un lampadaire. L’épave s’arrête à ma hauteur. Sur l’aile avant un dessin montre un renne bondissant sur la peinture qui a dû être beige. La vitre s’ouvre lentement et par à-coups ; évidemment il n’y a pas de vitre électrique.
    
    Un bonnet rouge comme le mien, sans les lumières, s’agite derrière la vitre. Le conducteur est couché sur la banquette avant pour arriver à ouvrir la fenêtre. Il se relève et je pars d’un éclat de rire. C’est le père Noël qui conduit cette poubelle. Il arbore une ...
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