Ginger - Chapitres 5 & 6
Datte: 06/06/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
hplusag,
piscine,
telnet,
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
sm,
Auteur: The sexy squirrel, Source: Revebebe
... mâle la chevaucha et fora le puits de ses reins, Ginger l’accueillit sans coup férir.
Autre point d’amélioration, la fellation. La maîtrise de la technique de la gorge profonde. Non sans mal, elle lutta contre ce satané réflexe de déglutition. Mon gland parvint à franchir le cap de son pharynx, puis ma hampe fut finalement gobée en intégralité. La maintenir en apnée quelques secondes. L’empoigner par les cheveux pour la dégager, des filets de salive s’étirant entre ma bite et ses lèvres. Y replonger jusqu’aux couilles. Limer sa gueule tel un vagin en calant fermement sa tête entre mes mains. Gicler sur sa langue étalée comme si elle avait faim de mon sperme. Et elle s’en pourléchait les babines, la gourmande !
L’année universitaire se termina, avec mention pour Séverine. Je fis jouer mes relations pour lui trouver un job sur Paris. Que des avantages : elle se faisait une expérience professionnelle, elle était payée, elle conservait son appartement, elle avait une bonne excuse pour ne pas retourner dans sa famille. Et bien sûr, elle passait encore plus de temps en ma compagnie car ses week-end étaient entièrement libres. Elle resta d’ailleurs coucher chez moi. Mais pas de chien dans mon lit !
— Cou-couche panier, Ginger.
Avec les températures estivales, une bonne partie de nos journées se déroulait à l’extérieur. J’avais acheté une piscine gonflable, du type qu’on installe dans le jardin pour que les gamins se rafraîchissent. Elle s’y ébattait avec joie, à la ...
... chasse de la balle que je lui envoyais. C’était un spectacle très sensuel de la voir frétiller nue dans l’eau, et il m’arrivait souvent de la saillir dans cette pataugeoire. J’ai toujours adoré baiser en milieu aquatique, au son des clapotis provoqués par le coït. C’était sea (enfin presque), sex (en doggy style) and sun !
– CHAPITRE 6 –
Fatalement, je délaissais mes autres activités sociales au profit de ma petgirl. Ce fut Laurent, mon meilleur ami, qui s’en inquiéta au téléphone :
— On ne te voit plus Nico, t’es devenu un ours.
— Oui, je sais, j’ai pas mal de boulot en ce moment
— Tu en as toujours eu et ça ne t’empêchait pas de sortir !
Sa remarque était aussi fondée que mon alibi pitoyable. Je restai coi.
— Y’aurait pas plutôt une fille derrière tout ça ?
Je bredouillai une vague réponse. Il insista :
— Je ne vois qu’une fille pour te faire manquer deux soirées poker d’affilée.
— Ces deux derniers samedis ? Je… je ne me sentais pas bien et…
— Ou des problèmes de fric, mais ce n’est pas ton genre. Et puis, tu m’en aurais parlé. Tandis qu’une fille, c’est le seul truc que tu me cacherais, surtout si c’est spécial entre vous.
Spécial. Il ne croyait pas si bien dire. Comment avouer à son pote que sa copine est une chienne ? Une chienne au lit ? Non, une vraie chienne ! Enfin, non, pas vraiment une vraie chienne… Je connaissais Laurent, il me tannerait tant que je ne lui aurais pas lâché le morceau. Le mieux était qu’il vienne lui-même constater la ...