1. Ginger - Chapitres 5 & 6


    Datte: 06/06/2020, Catégories: fh, fhh, hplusag, piscine, telnet, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fdanus, fsodo, sm, Auteur: The sexy squirrel, Source: Revebebe

    Résumé des chapitres précédents : Séverine, une jolie étudiante de vingt ans, est devenue ma soumise, ou plus exactement ma petgirl, c’est-à-dire une véritable petite chienne en ma présence. Après avoir débuté son dressage dans une chambre d’hôtel, je l’ai poursuivi chez moi où Ginger (c’est son nom canin) a passé un après-midi complet très excitant. Je m’interroge néanmoins sur ses motivations profondes.
    
    – CHAPITRE 5 –
    
    Si je m’étais questionné sur les ressorts de son engagement dans cette expérience, j’étais désormais plus que rassuré. Elle avait bien la soumission chevillée au corps, et j’avais tapé en plein dans le mille avec cette forme canine. Elle avait placée son entière confiance en mes capacités de maître, à moi de m’en montrer à la hauteur.
    
    J’ai commencé alors à me documenter très sérieusement. Sur les petgirls bien sûr, mais il y avait peu de ressources à ce sujet. Et sur le dressage des chiens. Des sites généralistes sur les toutous et leurs forums entrèrent dans le volet de mes favoris. La méthode d’éducation d’un comportementaliste réputé devint ma référence. Je complétais aussi mon équipement domestique : gamelles (eau et nourriture), panière grand format, divers jouets. Ainsi qu’une cage d’intérieur qui combinait parfaitement les deux occupations auxquelles j’allais me consacrer.
    
    Je récupérais Séverine à la gare et Ginger à la maison pratiquement tous les samedis des mois suivants. À ce rythme, elle progressa vite dans son apprentissage. Sur tous ...
    ... les plans. D’abord, dans son comportement : elle se transforma en une chienne plus vraie que nature. Par exemple, elle me faisait la fête lors de nos retrouvailles. Elle a ainsi élargi la palette de son langage canin et de ses attitudes pour se faire comprendre. Sa démarche quadrupède était désormais bien coordonnée. Dans les actes de la vie quotidienne aussi : elle s’allongeait dans sa panière pour se reposer, mangeait dans sa gamelle pour s’alimenter. Autre principe, elle prit l’habitude d’attendre que je la sorte dans le jardin pour faire ses besoins. Petite et grosse commission (sans avoir besoin de sac plastique !). Bref, j’avais l’impression d’avoir adopté un véritable animal domestique.
    
    Ensuite, au niveau sexuel. La sodomie était pour moi un passage obligé. Je ne concevais pas une relation de domination sans posséder ma soumise par son orifice le plus secret. Mais je n’étais pas du genre soudard qui allait lui casser le cul en le déflorant. Je pris soin de l’initier avec minutie.
    
    Je la faisais s’installer à genoux, sa tête posée sur un large coussin, ses jolies petites fesses pointées vers moi. De la vaseline pour le confort. Deux doigts qui ramonent son fondement, qui habituent son œillet à être élargi. Pour l’amadouer, je passais mon autre main entre ses cuisses et je cajolais sa fente, son clitoris. Peu importe ses gémissements, ses contorsions, je ne relâchais jamais mon étreinte avant l’explosion de sa jouissance. Et quand, quelques séances plus tard, son ...
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