Cette femme que je déteste
Datte: 06/06/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
médical,
Auteur: Son Ange, Source: Revebebe
... la retiens pas, la supplier de ne rien dire à Mélanie aggraverait ma situation.
Je ne la revois plus de la journée, j’angoisse ! Mélanie trouve mon comportement étrange, je lui dis simplement que ça doit être le contrecoup de l’opération. Elle me dit de me détendre et m’apprend que Carmen sera de garde pour la nuit, que je serais entre de bonnes mains.
À 22 heures, l’objet de mon obsession entre effectivement dans la chambre. Elle sourit, comme toujours. Mes yeux se posent sur elle. Si mon regard exprime ce que ressentent mes tripes, il doit mêler désir et inquiétude. Elle ne s’attarde pas, éteint mon téléviseur et me souhaite bonne nuit. Les images cathodiques font place à celles de mon inconscient et provoquent en moi une érection presque douloureuse. Je ne peux pas me masturber, si quelqu’un entrait ?
Le marchand de sable a raison de mes paupières, je m’envole au pays des songes. Et là encore, je suis hanté par la présence de Carmen. Ses mains se posent sur mes cuisses, les caressent sensuellement. Je soupire, à tel point que je me réveille.
Ce n’était pas un rêve, Carmen est là, sa langue titille le bout de mon gland et ses doigts se meuvent le long de ma hampe. Je n’ai pas la force, ni l’envie d’ailleurs, de l’arrêter. Je passe ma main dans ses cheveux couleur ébène pour l’encourager. Ses lèvres chaudes s’activent sur ma bite raidie. Il y avait longtemps qu’une femme ne m’avait fait pareille pipe, jamais peut-être. Déjà, je suis au bord de l’explosion, mais ...
... je ne veux pas prendre le risque que cet instant s’arrête. Je la prends par le bras, l’attire vers moi. Je l’embrasse à pleine bouche. Nos langues s’entremêlent et le goût âcre de mon intimité parfume notre baiser qui est d’abord d’une douce sensualité, puis presque bestial.
La "haine" que je voue à cette femme depuis plusieurs années se transforme en passion. Je défais sa blouse et contrairement au premier jour, elle ne porte que des sous-vêtements, délicieux en l’occurrence, un soutien-gorge en dentelle blanche et un tanga assorti. Elle les porte avec classe, mais mon désir est si intense que je ne puis l’admirer longtemps dans cette tenue.
Je l’embrasse furtivement dans le cou, sur la poitrine, sur le ventre et finalement mon visage glisse entre ses cuisses. Je parcours celles-ci avec délectation et je retarde le moment attendu. Ma bouche atteint enfin sa toison délicatement taillée. J’écarte ses lèvres avec mon pouce et mon index et lèche son petit bouton gonflé, son goût est merveilleux. Par de petits mouvements circulaires, ma langue malmène ce petit bout de chair si puissant. Elle gémit, je ne lui laisse aucun répit. J’insinue mon index dans sa grotte humide ce qui la fait onduler du bassin. Elle en redemande et je joins le majeur à son voisin. Sa vulve se contracte, je devine un orgasme assez puissant.
Je n’interromps pas mon traitement et de nouvelles contractions la trahissent. Je remonte le long de son corps et nos bas ventres respectifs sont en contact. Je ...