Cette femme que je déteste
Datte: 06/06/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
médical,
Auteur: Son Ange, Source: Revebebe
Carmen est, au premier abord, une femme banale. Ni vilaine, ni belle, elle mesure 1m60 pour une cinquantaine de kilos. Elle est surtout la meilleure amie de ma copine. Fait non négligeable, je ne la supporte pas ! De là à dire quelles en sont les raisons, il m’est difficile de répondre. Comme toutes les meilleures amies, elle a peut-être un peu trop tendance à fourrer son nez là où il ne faut pas.
N’osant pas avouer à ma femme que "sa" Carmen me hérisse les poils, je fais semblant d’être aimable. Cette hypocrisie va me jouer un très vilain tour. Carmen est en effet infirmière et je vais devoir subir une intervention chirurgicale. Ma chère Mélanie lui a tout naturellement confié la tâche de suivre mon dossier médical. Génial !
L’effet de la narcose s’est quasiment estompé et j’ouvre les yeux. Vision d’horreur ! Carmen est là, me souriant aimablement et avec un geste tendre sur mon front, elle me demande comment je me sens. Sa main est douce, je ne peux pas me montrer agressif. Je me rendors. Quelques heures plus tard, avec le même geste affectueux, elle me réveille. Elle n’est pas si mal en blouse blanche. D’emblée, je me demande si elle porte quelque chose en dessous. L’effet de l’anesthésie sans doute.
Elle s’approche de la fenêtre pour ouvrir les rideaux et dans le contre-jour, je me rends compte qu’elle porte un pantalon ; même pas sexy cette vieille peau ! Elle a dû remarquer que je la matais car elle me demande si sa blouse est tachée…
— Hein… euh… oh non, ...
... je suis encore un peu dans les vapes, excuse-moi !
Les jours passent, les visites aussi, plus ou moins désirées d’ailleurs. Je suis toujours heureux de revoir ma Mélanie et je tente les mains baladeuses, mais elle est décidément trop prude ma petite femme. Mes pulsions sexuelles se font pressantes. Et je me rends compte que je mate de plus en plus Carmen…j’ai envie de la baiser. C’est de sa faute aussi, si elle n’avait pas mis ce décolleté !
Le 4ème matin, elle débarque dans ma chambre, elle veut me faire ma toilette. Jusque là, j’y avais échappé et c’était la "mamy" du service qui s’y collait.
— Je peux m’en charger moi-même, lui dis-je.
— Non, l’effort est trop grand, tu n’es tout de même pas gêné ? un grand garçon comme toi !
Elle commence à me frotter le torse et le dos. Je sens son souffle tiède caresser ma peau, je bande. C’est le moment qu’elle choisit pour baisser la couette. Je le retiens mais ne résiste pas longtemps. Elle comprend très vite ce qui se passe et paraît autant gênée que moi. Du moins, un instant…Elle se ressaisit et passe la serviette-éponge sur mes abdominaux, puis mes jambes. Elle ne me contourne pas et nettoie le flanc opposé. Sa blouse effleure mon caleçon, je la soupçonne de le faire exprès. Ne sachant que faire, je pose ma main à l’arrière de sa cuisse, elle ne réagit pas, à ma grande surprise. J’entreprends de la glisser vers ses fesses, elle se relève et me lance un regard noir. Comment ai-je pu être aussi bête ? Elle s’en va, je ne ...