1. Ma mère au bois dormant.


    Datte: 08/04/2018, Catégories: Première fois Hardcore, Mature, Auteur: VicentH178090, Source: xHamster

    ... de comprendre, histoire de justifier ce que je vais faire !… Baise-moi mon chéri !
    
    Victime d’une érection magistrale, je ne me fis pas prier pour exaucer le désir de maman. Je roulais sur elle, arrachant mes vêtements alors que ma mère en faisait autant. Je me retrouvais sur elle entièrement nu et la verge dressée. Percevant la dureté de mon désir contre son bas-ventre, maman écarta les cuisses en gémissant :
    
    — Oh oui, mets-la moi !
    
    Je glissais sur son ventre, mon membre rigidifié suivit la fente de son sexe ; trouvant l'entrée et il s'y glissa sans mal. Un long feulement accompagna la pénétration de ma queue dans la chatte trempée. Je donnais alors de violents coups de reins pour prendre possession du vagin torride, enfonçant mon dard le plus profondément possible.
    
    Lorsque mon gland cogna son utérus, maman poussa un long gémissement puis soudainement déchaînée, elle crie à la fois sa douleur, sa rage, et son désir. Je pilonnais rageusement sa vulve dans un bruit mou et spongieux à chaque coup de reins.
    
    Furieusement excité par le fait que je baisais ma mère, qui cette fois était parfaitement réveillée, m'excitais au plus haut point. Je sentais ma queue coulisser dans un magma brûlant. Alors que jusqu’à maintenant je naviguais dans une chatte béante, cette fois-ci je sentais les muscles vaginaux me retenir, entraver ma queue, ralentissant le va-et-vient de mes reins.Photos
    
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    Maman gémissait en une longue litanie érotique, ...
    ... poussant parfois de longs cris indistincts quand ma bite plongeait au plus profond de son vagin et venait buter contre son utérus.
    
    — Va doucement, me murmura-t-elle à l'oreille.
    
    Ayant une certaine expérience et voulant prolonger son plaisir, elle avait compris qu’à ce rythme, je risquais de jouir très vite. Comprenant le message, je m’empressais de ralentir le mouvement de mes reins, stoppant presque mes va-et-vient. Dans un mouvement atténué je me remuais au ralentit dans le fourreau bouillant de son sexe.
    
    Nous sommes l'un contre l'autre, l’un dans l’autre, les yeux grands ouvert maman me regarde fascinée.
    
    — Comment as-tu fait ? Tu es venu dans ma chambre quand je dormais ?
    
    — Oui !
    
    — Tu m’as baisée sans que je me rende compte !
    
    — Oui !
    
    — Salaud ! Tu es un salaud !
    
    Soudainement maman éclata en sanglot, sans que je n’en comprenne la raison. Je demeurais à nouveau désemparé. Seulement voilà que sans le savoir maman m'excitait à pleurer pendant que je la baisais. J'accélérais à nouveau le mouvement de mes reins, la pilonnant de ma verge.
    
    Sous ma soudaine accélération maman se mit à crier en secouant la tête en tous sens. Je la regardais excité, je voulais qu'elle jouisse sous moi. Pour cela je me maîtrisais, donnant des coups de bite réguliers. Elle cria plus fort, en se tordant sous mon pieu planté au plus intime de son corps.
    
    Défigurée par le plaisir, elle me traita encore de salaud en criant, elle hurla que je lui faisais du bien. Secouée par ...
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