1. Ma mère au bois dormant.


    Datte: 08/04/2018, Catégories: Première fois Hardcore, Mature, Auteur: VicentH178090, Source: xHamster

    ... tête entre mes bras. Une main sur mon épaule me tira de mon chagrin, je relevais la tête, les yeux brouillés par les larmes, je ne vis ma mère qu'à travers un brouillard humide.
    
    — Je te pardonne mon chéri.
    
    Des mots qui se bousculèrent et s'entrechoquèrent dans mon crâne comme des boules de billard électrique. J’éprouvais comme un malaise, ma tête se mit à tourner.
    
    — Tu comprends, je n'ai plus que toi, alors si je ne te pardonne pas, je n'ai plus personne au monde.
    
    Le manège ralentit dans ma tête, les choses semblèrent reprendre un semblant de place. J'arrivais à déglutir un peu, assez pour chasser le fiel qui avait envahi ma bouche.
    
    Maman se trouvait au dessus de moi, l’air grave mais plein d’amour. Elle me regarda tendrement puis m'attira à elle. Je me levais. Elle me prit alors dans ses bras et m'enlaça. Je me laissais aller contre elle, alors seulement elle me murmura à l'oreille :
    
    — J'ai vu le médecin, il m'a annoncé que j'étais enceinte, bien sûr je ne l'ai pas cru. Il m'a pourtant affirmé que cela était. De toute façon je n'avais plus mes règles depuis deux mois et je m'inquiétais.
    
    J'ai réfléchi. Je n'avais pas eu de rapport sexuel depuis le départ de ton père. Il m'a bien fallu me rendre à l'évidence, je ne pouvais être enceinte que de toi !
    
    Je tremblais de honte dans ses bras. Ne pouvant me contenir j'éclatais en sanglots, je défaillais. Maman me retint contre elle, me serra plus fort. Comme je m'agrippais à elle, maman trébucha, m’entraînant ...
    ... avec elle sur mon lit qui se trouvait derrière, où nous nous retrouvâmes tendrement enlacés.
    
    — Ne pleure plus, tenta-t-elle de me consoler.
    
    Ça va s'arranger, j'ai prévenu le médecin que je ne voulais pas de cette grossesse, il va me prendre rendez vous dans une clinique, je vais avorter, n'aie pas peur !
    
    Mon tremblement s'amplifiait à l'écouter me dire ainsi à l'oreille des choses si graves, des choses d'adultes, des choses d'amants pris en faute.
    
    — Allons !… Ne tremble pas comme ça, tout va s'arranger.
    
    Retrouvant ses instincts maternels, maman me caressait les cheveux, tout en me couvrant de baisers. Je sentais avec émotion la chaleur de son corps contre le mien, ses seins contre ma poitrine, ses cuisses contre les miennes, et puis son ventre sur le mien.
    
    Comme si elle voulait se faire pardonner tout ce temps où elle m’avait délaissé, maman n’en finissait pas de m’embrasser. A un moment ses lèvres se posèrent sur ma bouche, surpris je demeurais immobile ne sachant comment prendre ce baiser. Je pensais que dans la fougue qu’elle mettait à vouloir se faire pardonner ces semaines où elle m’avait laissé, livré à moi-même, son baiser avait légèrement dérapé.
    
    Mais ma surprise se transforma en stupéfaction, quand elle s’attaqua à ma chemise qu’elle déboutonna avec une réelle impatience, pour pouvoir caresser ma poitrine.
    
    — Fais-moi l'amour ! M’ordonna-t-elle, le regard chaviré… Je veux que nous fassions l'amour au moins une fois avant que j'avorte, histoire ...
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