Philippe, le mari candauliste et Olga, l'épouse hypersexuelle (36) : nos retrouvailles
Datte: 04/06/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Olga T, Source: Hds
... ferré sa proie et n'entendait pas la lâcher comme ça. Il tentait de prolonger le supplice de plaisir le plus longtemps possible et de boire toute la cyprine qui sortait de ma chatte. Je me laissais faire quelques instants avant de me dégager d'un violent coup de rein en arrière et, dans un cri, de me replier sur le côté, les mains entre mes jambes, le corps secoué de tremblements convulsifs.
Philippe n'en n?avait pas fini avec moi.
- Je vais t'enculer à sec, ma putain adorée. Je veux ton cul !
Il mit son sexe dans l'axe et poussa sur le sphincter. J'adore être prise par la porte étroite, mais cette fois c'était sans préparation.
- Ooooh nooon ! Doucement ! Chéri, tu me fais mal ! Tu sais, ça fait des semaines qu'il me prend de force par là. C'est devenu très sensible. Aaaaaah ! »
En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, son gland avait franchi l'obstacle et je sentais mes sensations revenir, je retrouvais le bonheur d'être enculée. Parce que pour lui, j'avais du désir.
- Ca va c?est bon ! Vas-y ! Encore ! »
Il continuait à s'enfoncer lentement dans mon rectum en faisant de petits retours en arrière pour améliorer la lubrification du conduit.
- Oh putain ! C?est bon ! Vas-y défonces-moi ! »
Il allait de plus en plus loin, de plus en plus vite. Je ne criais plus, je semblais en apnée, la tête dans l'oreiller. Mes doigts s'agitaient frénétiquement sur mon clito et mes reins pris de soubresauts incontrôlés.
Philippe éjacula alors en moi dans ...
... un cri rauque, je l'accompagnais d?un hurlement assourdi par l'oreiller. Nous reprenions nos esprits, allongés côte à côte.
- Ouahou ! ! J'en veux encore !!!
- D'accord mais attend un peu que j'ai rechargé les batteries s'il te plait. Parce que je ne suis plus habitué à ce rythme moi.
- Tu as voulu être mon amant, alors il faut assumer !
Nous avons poursuivi cette après-midi de folie qui m'a fait rajeunir de plusieurs années. J'ai le souvenir flou de corps emmêlés, imbriqués, de mes seins qui bougent dans tous les sens, d'une chevelure décoiffée, de douches embuées, de rires, de cris de plaisir jusqu'au bout de la nuit. Philippe, reprenant le contrôle du lit conjugal, avait ce jour-là, revisité plusieurs fois tous mes orifices naturels. Je sais que c'est ce jour-là que nous avons conçu Sofia, ma troisième fille, fruit de mes amours avec Philippe.
J'étais plantée sur son phallus qui me torpillait. Il contemplait mes seins fermes tressautant au rythme de notre cavalcade sexuelle.
LA RUPTURE
C'est alors que je crus deviner l'ombre d'un voyeur dans le couloir. Je réalisais que c'était Hassan qui arrivait juste au moment où Philippe était en train de se vider dans ma chatte. Je l'avais complétement oublié, je n'ai plus pensé qu'il devait rentrer dans la soirée.
Effrayée, un peu honteuse aussi, je me suis blottie, je me suis lovée dans les bras de Philippe. Le moment de vérité était enfin arrivé.
- Salope, putain ! On m'avait prévenu que tu ne changerais ...