Philippe, le mari candauliste et Olga, l'épouse hypersexuelle (36) : nos retrouvailles
Datte: 04/06/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Olga T, Source: Hds
... définitivement à toi, Kardia moy. Tu peux faire de moi tout ce que tu veux.
- Et je ne m'en priverais pas. Ce corps est fait pour le plaisir, je ne serai pas égoiste. Je veux que des lèvres te donnent le frisson, que des mains innombrables te caressent, que des verges t'honorent.
- Oh oui mon chéri. Mais maintenant c?est de toi dont j'ai envie !
Il fit enfin tomber ma culotte et son pantalon, puis me poussa sur le lit.
Philippe s'installa entre mes jambes et posa ses lèvres sur mon ventre chaud puis, après avoir écarté ma petite main qui bien-sûr n'opposa aucune résistance, entreprit de descendre plus bas afin de brouter avec bonheur son gazon soyeux tout en respirant à fond mon odeur intime. Descendant toujours, il écarta mes cuisses pour observer, sans encore la toucher, ma vulve rose palpitante et déjà bien humide. Il alla ensuite poser doucement ses lèvres sur la partie si tendre de l'intérieur de ma cuisse droite. Il descendait le long de ma cuisse puis remontait, traversait la zone du petit minou sans le toucher puis redescendait embrasser et lécher l'intérieur de la cuisse gauche. J'étais aux anges!
Sans prévenir, il s'est arrêté pour sucer avidement mon petit clito. Je poussais un « Aaaaah » instinctif.
Que c'était bon une telle tendresse, un tel désir, après des semaines de saillies brutales, où, pour mon mari, je n?étais plus qu?une femelle et un vagin.
Sa langue lâcha ensuite mon bouton nerveux pour aller plonger dans mon puits délicieux. ...
... Alternativement, d?une grosse langue râpeuse, il léchait de bas en haut et de haut en bas ma fleur à vif puis d?une petite langue fouineuse, il plongeait le plus profond possible dans son intimité. Ses mains ne restaient pas inactives, elles profitaient de la situation pour caresser mes cuisses et pétrir mes fesses.
Je me mordais les lèvres et ne pouvais plus contenir mes gémissements. J'appuyais sur la tête de Philippe pour l'encourager à continuer. Il n'avait pas besoin d'encouragements.
Sa langue courrait sur ma vulve, débordait sur l'extérieur des grandes lèvres pour s'égarer sur le début des cuisses et revenir de plus belle brouter le mont de Vénus.
Pour amplifier mes sensations, il fit pénétrer deux doigts dans mon antre parfaitement lubrifié et en fouillait les limbes pour titiller de l?intérieur mon clitoris que sa bouche suçait à l?extérieur, puis entamait un lent mouvement de va-et-vient.
Je me cambrais, bloquait ma respiration pour ne pas gémir. Sa bouche ne quittait plus mon clito, un troisième doigt avait rejoint les deux premiers et leur pénétration se faisait de plus en plus intense. Sa main libre massait un petit sein tendu de désir.
Je lui attrapais la tête à deux mains et le plaqua le visage contre mon bas ventre. Je criais, je haletais, soupirais et gémissait crescendo.
- Oh oui ! ! C?est ça ! C?est bon ! Non arrêtes ! C?est trop fort ! Aaaaahhh ! »
J'enchainais les orgasmes et j'essayais de repousser sa tête d'entre mes jambes. Il avait ...