1. Les amants de Lady Schneckerley (6)


    Datte: 03/06/2020, Catégories: Hétéro Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... manifestement lavé avant de venir et le parfum de l’onguent attisait de surcroît ma sensualité.
    
    Je massai les cuisses et l’amenai ainsi à les écarter davantage et à me donner la vision des couilles partiellement ramassées sous son corps, pas complètement dégagées; les fesses, le dos, alternativement, et mes seins le rasaient de plus près. Il était impossible qu’il ne se fût pas rendu compte que j’étais nue.
    
    Alors, je fis ce que je n’avais jamais fait jusqu’alors : je logeai ma langue sur la rosette et la léchai comme la plus délicate des sucreries.
    
    Il se retourna aussitôt comme si un scorpion l’avait piqué. Evidemment, il bandait, il bandait dur, comme un cheval. Sa queue était monumentale, j’en avais vues de toutes les tailles sur le bateau, mais aucune de ce gabarit-là. Je la pris et posai délicatement un baiser sur l’extrémité puis avalai le gland. Je ne pourrais jamais la sucer tout entière. Je mangeai aussi ses grosses couilles. Il faudrait les raser. Je préfère ces joujoux là tout lisses.
    
    — Oh ! Maîtresse, c’est pas bien, il ne faut pas... Il faut pas maîtresse... C’est mal...
    
    Il s’était appuyé sur ses coudes et se redressait. Je lâchai la bite et remontai le long de son corps tout en laissant ma main gauche traîner sur son paquet.
    
    — Pourquoi n’est-ce pas bien ? Pourquoi est-ce mal ?
    
    — Un esclave peut être puni pour cela... surtout avec une femme blanche et mariée...
    
    — Par qui ?
    
    — Le Maître. Il va me punir... me pendre...
    
    — Le Maître ??? ...
    ... Mais c’est moi le Maître.
    
    — C’est Monsieur...
    
    — Monsieur ? Si Monsieur te voyait comme je te vois, il ferait comme moi, sois-en sûr.
    
    — Mais c’est un péché !
    
    — Un péché ? Où as-tu appris de telles sornettes ?
    
    — C’est le pasteur qui dit ça.
    
    — Et le pasteur, il trouve normal de maintenir des hommes en esclavage ?
    
    — Il dit que...
    
    Je posai un doigt sur ses lèvres, tout en remontant ma main pour lui caresser le torse et venir à son épaule.
    
    — Chut ! Tais-toi, Bo Tom... Laisse-toi faire, laisse... Il n’y aura que du bien, tu vas voir... Plus personne ne te fera du mal, je te le promets.
    
    Et je l’embrassai à bouche que veux-tu, en me collant à lui, et me frottai à lui.
    
    Je le chevauchai et sentis que je lui étais de moins en moins indifférente.
    
    Il était presque tétanisé. Alors, je l’embrassai partout. Sur les joues, le menton, le nez, les paupières, le front la bouche, dans le cou, sur ses tétons durs puis me hissait de façon à ce que mes seins vinssent sur sa bouche.
    
    — Mange-moi les tétons.
    
    Il hésita.
    
    — Lèche-le d’abord puis avale mes seins, dis-je plus fermement.
    
    Après une dernière hésitation, il détendit son énorme langue sur ma poitrine, lentement. C’était chaud. Puis il se mit à sucer les pointes, l’une après l’autre.
    
    Cela le libéra un peu et il posa ses mains sur mes fesses, les retirant aussitôt, comme s’il s’était rendu compte, soudain, qu’il avait fait quelque chose de mal...Alors, je l’embrassai à nouveau fougueusement.
    
    — ...