Les amants de Lady Schneckerley (6)
Datte: 03/06/2020,
Catégories:
Hétéro
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
Il revint comme prévu, parce que j’envoyai Ann le chercher. Seul, il n’osait pas. J’avais mis le déshabillé le plus léger possible. Mes seins pointaient au travers du tissu. J’étais follement excitée à l’idée de toucher ce colosse d’ébène, ce monstre de chair et de muscle.
Je le fis monter dans ma chambre et lui demandai de se déshabiller, ce qui ne fut pas long, malgré un réflexe de pudeur, car il ne portait qu’une mauvaise culotte et était torse nu sous le pansement.
Dieu qu’il était beau !
J’ôtai le bandage en me frottant le plus possible contre lui, mais discrètement, l’air de ne pas y toucher, de façon à ne pas dévoiler mon jeu. Je voulais que le désir vînt de lui, sans qu’il réalise que j’avais tout fait pour le provoquer.
Je l’écoutai parler, me raconter les horreurs subies par lui et les siens, les humiliations et les mauvais traitements. Il m’apparut sensible et respectueux. J’en fus remuée jusqu’au fond de mon âme.
— Allonge-toi Bo Tom !
— Mais je vais salir, Maîtresse, vot’ lit...
— Allonge-toi, il faut bien que je te soigne. Et d’ailleurs, tu es très propre.
— Je me suis lavé, Maîtresse !
Il s’allongea sur le ventre et je pris la pommade que j’appliquai sur ses plaies après avoir précautionneusement enlevé le bandage. Peu à peu, je le sentis se détendre. Mes cercles s’élargirent vers ses fesses, que sa culotte usée protégeait pour le moment contre mon désir, puis je remontai vers son dos, délicatement pour ne pas le faire souffrir, puis ...
... vers ses bras.
Plus cela allait, plus je me rapprochai de lui. J’étais si excitée. Qui le saurait si je faisais l’amour avec un esclave noir ? Pourrait-il me refuser, se dérober ? Non bien sûr. Je mouillai.
Alors, j’enlevai ma tunique. Il n’en vit rien. Puis je m’approchai si près que mes tétons le frôlèrent. Ils étaient gonflés et je me mis donc à le frôler de plus en plus.
Je tirai sur son espèce de pantalon pour le baisser. Évidemment, ce fut plus compliqué que prévu. Il résista.
— Que faites-vous maîtresse ?
— Il faut bien que je te soigne là aussi. Tu as été fouetté sur tes fesses aussi.
— Ce n’est rien, rien.
— Allons, enlève-le.
— C’est pas convenable d’être nu.
— Voyons, ne fais pas l’enfant. Obéis !
Il le fit en soulevant rapidement son bassin et je tirai vite le frêle linge vers le bas, apercevant un bref instant la masse compacte des testicules. Son cul m’apparut dans toute sa puissance. Il était magnifique, bien rond et ferme, avec de petits poils noirs tout frisés dans la raie. Il portait quelques zébrures anciennes. Il n’avait pas été fouetté récemment.
Je m’enduisis les mains de crème et commençai à lentement peloter les globes à les écarter pour découvrir la tache un peu plus claire de la rondelle. Je n’avais encore jamais posé ma langue sur un cul de mec. Un marin m’avait bien demandé de le faire sur le bateau, mais il était sale et j’avais reculé devant cette répugnante perspective. Mais là, c’était différent. Bo Tom s’était ...