1. Le club J (5)


    Datte: 02/06/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: ALemurier, Source: Xstory

    ... adoration alors que Carla descendait du canapé et se mettait à genoux devant lui. Avant qu’il eût le temps de réagir, elle lui avait presque arraché son short et enlevé son propre haut. Ses seins retombèrent lourdement, mais pas autant que leur taille ne le laissait que présager. David laissa échapper une exclamation d’admiration que sa partenaire ignora. Depuis le début de leurs ébats, il s’était complètement avachi dans le canapé et Carla en profita pour lui faire écarter les jambes et se placer entre elles, ses seins touchant l’érection du jeune homme. En souriant largement, elle prit dans sa main la bite tendue et la fit glisser entre ses seins qu’elle pressa l’un contre l’autre. Satisfaite du petit hoquet de David, elle imprima un va-et-vient calme à ses seins.
    
    Le jeune homme n’avait jamais eu de branlette espagnole et avait beaucoup fantasmé sur cette pratique, mais la réalité dépassait encore ses rêves. La pression était insuffisante pour le faire jouir, mais la sensation de la peau douce et de la chair souple sur sa queue raide était fantastique. Il se cramponna aux coussins du canapé, n’osant pas quitter la femme des yeux. Sa queue grossit et s’allongea encore un peu. Carla cessa alors de le regarder et baissa la tête pour prendre en bouche le gland gonflé. A chaque descente de ses seins, elle exerçait une succion goulue sur le sexe rigide. David se mit à soulever les hanches pour pénétrer sa bouche plus profondément et bientôt, la bite disparut à moitié entre ...
    ... les lèvres de Carla. Moins timide et plus expérimentée que les jeunes femmes de l’âge du garçon, elle suçait avec avidité, ne laissait pas ses dents gâcher le plaisir et caressait de sa langue tout ce qu’elle pouvait atteindre.
    
    Il se prit alors à penser à sa mère. Elle avait des seins nettement moins gros que Carla, mais sa silhouette n’avait rien de honteux. Elle était même franchement belle, bandante, pourrait-on dire. Les gens poussent des cris d’orfraie quand on parle de fantasmer sur sa propre mère, mais Jeanne était vraiment digne d’intérêt. A bien y réfléchir, il n’y avait pas de mal à rêver de baiser sa propre mère, non pas parce qu’elle était sa mère, mais parce qu’elle était désirable. D’ailleurs, comme le disaient Carla et Arnaud, réaliser ce fantasme ne ferait de mal à personne s’il était partagé. Peut-être que Jeanne fantasmait aussi sur lui et qu’il suffirait de lui proposer de le rejoindre dans sa chambre. Ils n’auraient aucun mal à cacher leur liaison à son père perpétuellement absent, d’autant que leurs voisins seraient complices par solidarité. Se rendant compte qu’il négligeait son hôtesse et ses talents, il chassa ces pensées.
    
    Carla s’était levée devant lui et avait baissé sa jupe. Elle glissa les doigts dans l’élastique de sa culotte et en quelques déhanchés, elle fit tomber son dernier vêtement sur ses chevilles. Elle ne portait plus que ses chaussures que, pour une raison mystérieuse, elle ne souhaitait pas enlever. Elle se planta devant David, les ...
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