Le club J (5) - Histoires de Sexe

Le club J (5)

... appela.

— Oui mon chou, répondit la voix très proche de Carla.

— David a envie de te baiser.

Choqué, l’intéressé braqua un regard affolé vers son adversaire qui lui répondit d’un clin d’œil grivois. La grande silhouette de Carla apparut immédiatement, le visage fendu d’un large sourire gourmand.

— Ah oui ? susurra-t-elle.

— Pas du tout Madame, bredouilla David. C’est... juste une plaisanterie... d’un goût douteux... désolé.

La femme ignora ses balbutiements et s’avança vers lui jusqu’à l’accoudoir du canapé sur lequel elle s’assit. Elle se pencha vers le jeune homme et lui colla pratiquement ses seins sur la figure. Sa main gauche passa sur les épaules alors que la droite se porta sur la bosse de son pantalon.

— Madame, répéta-t-elle d’un ton narquois. Crois-moi, tu voudras plus m’appeler Madame après ce que je vais te faire.

David déglutit, il pouvait voir près de sa tête, la main gauche de Carla, portant elle aussi un bracelet mentionnant le J du club Jocaste. La main droite se ferma lentement sur sa queue dressée, encore dans son pantalon, puis entama un léger va-et-vient. Il entendit vaguement une exclamation d’Arnaud et comprit que celui-ci avait profité de la distraction pour le massacrer. Il abandonna sa manette sur le canapé.

Carla venait d’ouvrir la braguette et tirait du pantalon un chibre tendu comme un arc. Elle gloussa de plaisir et d’admiration.

— Mon chou, tu es vraiment comme j’aime les hommes, minauda-t-elle alors qu’elle ...

... glissait le bout de ses doigts le long de la hampe rigide de son invité bien dur.

Le destinataire de ce compliment tenta de la remercier, mais elle lui coupa net la parole en écrasant ses gros seins sur son visage. D’un geste expert et précis; elle forma un anneau de ses doigts, qui est juste assez large pour que le gland du jeune homme s’y faufile sans douleur, qu’elle passa autour du membre gonflé avant de se mettre à le frotter à un rythme calculé, très lent. La pression de ses doigts était parfaitement contrôlée, l’exact équilibre entre douceur et intensité, produit d’une expérience riche des innombrables bourses qu’elle avait dû délester de leur jus. Aucune jeune femme, fut-elle la plus cochonne de toutes, n’avait cette expertise.

David était pour l’heure coincé entre deux montgolfières soyeuses et chaudes. Aussi excitante que pût être l’idée de répandre son sperme sur la poitrine et le visage de Carla, il s’efforça de détendre le bas de son corps. Le haut, par contre, sortit de sa torpeur et s’anima. Ses mains épousèrent la rotondité des gros seins alors que sa langue glissait sur la peau douce. Fébrilement, il glissa les doigts sous l’étoffe du haut et palpa la merveilleuse souplesse des globes roses. Il n’avait jamais eu la chance de toucher des seins pareils. Certes, ses quelques anciennes conquêtes avaient des poitrines généreuses, mais c’était sans commune mesure avec les orbes majestueux de sa nouvelle maîtresse.

Malheureusement, la poitrine se déroba à son ...