1. Initiation parisienne


    Datte: 01/06/2020, Catégories: fhh, hagé, groscul, poilu(e)s, vacances, caférestau, BDSM / Fétichisme nopéné, init, Auteur: Jean-Paul60, Source: Revebebe

    ... vacances et la représentant en maillot de bain deux-pièces. Le bikini jaune tout comme le minuscule soutien-gorge semblent avoir toutes les peines à contenir ses rondeurs pas encore résorbées de son récent accouchement… elle fait les gros yeux à son mari :
    
    — Minou, pourquoi montres-tu ces horreurs ?
    
    Sarcastique, Blaise répond :
    
    — Il a bien raison, ton Minou ! Ca mérite d’être exposé, ça devrait être exposé dans toutes les maisons de la culture !
    
    Ils rient tous les trois. Elle se juche sur le tabouret qu’ils lui ont réservé, incapable d’empêcher sa jupe de remonter largement sur les cuisses… Dans sa tentative pour la retenir, les pans de sa veste lui échappent et s’ouvrent sur le gilet qu’elle n’a pas reboutonné. Lorsqu’elle fait le geste d’y remédier, c’est Paul qui l’en empêche.
    
    — Laisse, tu es bien comme ça…
    
    Il a la voix un peu enrouée. Le patron leur sert trois punchs aux fortes senteurs. Ils trinquent et elle tousse, surprise par la force du rhum blanc. À ce moment, elle sent que des doigts habiles défont un autre bouton du gilet et la voix de Blaise :
    
    — C’est vrai, elle est même très bien comme ça !
    
    L’homme la contemple, les yeux brillants et elle baisse les yeux alors que la main de son mari remonte sur sa cuisse droite… Donc, ce ne sont pas les doigts de Paul qui restent dans l’échancrure du gilet, qui touchent sa peau juste en-dessous du soutien-gorge, puis remontent sur le tulle, effleurant l’étoffe diaphane du sous-vêtement. Le visage de ...
    ... son mari se rapproche du sien, il se veut rassurant et lui baise doucement les lèvres ; son haleine sent l’alcool et elle se rend compte qu’elle-même doit sentir un peu la canne à sucre, le citron vert. Elle laisse le baiser se prolonger en même temps que la main gauche, virile, chaude, s’empare de ses seins. Elle gémit d’une manière presque comique et Paul se détache d’elle pour dire à Blaise :
    
    — Ma femme est chatouilleuse…
    — Partout ? demande Blaise.
    
    Et la main descend, quitte le gilet ouvert, glisse sur le devant de la jupe, parcourt le ventre rond, la cuisse gauche, remonte, cette fois sous la jupe, atteignant la lisière du bas, la franchissant, pour atteindre la chair nue. Sandrine est haletante et lorsque Paul lui pose son verre de punch au bord des lèvres elle avale d’un trait le liquide glacé et brûlant à la fois ; elle entend Blaise qui la questionne :
    
    — Je te plais ?
    — Oui…
    
    Le oui fatidique, est-ce bien elle qui vient de le prononcer ? Ce doit être elle, car cette fois, la main du dessinateur remonte, lui palpant franchement les cuisses, tandis qu’il se penche à son tour sur elle et cueille un baiser sur les lèvres roses.
    
    Dans le tintamarre qui vrille d’un seul coup ses limbes, elle discerne la voix de Paul qui propose à Blaise de venir à leur hôtel pour passer un moment ensemble, l’homme qui acquiesce. Elle crispe frénétiquement ses cuisses l’une contre l’autre, entend un mot rapidement échangé avec le tenancier alors qu’ils la font descendre de son ...
«12...6789»