1. Découverte du plaisir


    Datte: 08/04/2018, Catégories: fh, jeunes, couleurs, grossexe, grosseins, vacances, plage, Oral pénétratio, init, Auteur: Coquine, Source: Revebebe

    ... m’empale sur lui, dos tourné. L’armoire vitrée renvoie à nouveau notre reflet : ses belles mains se posent sur mon ventre et accompagnent le mouvement de mon bassin qui glisse sur sa tige luisante de mon miel. Je me colle à lui et sens son souffle chaud contre mon cou. Il me mordille une oreille. Une main se plaque doucement sur mon abricot détrempé, l’autre sur mes seins. Ma respiration devient haletante. Son pénis accélère son mouvement. Je n’en peux plus ! Une vague de plaisir m’inonde à nouveau et je ne peux que crier ma jouissance une seconde fois.
    
    Cette fois, il m’empale face à lui. Sa langue pétrit à nouveau la pointe de mes seins, ses mains caressent mon dos, son long sexe me remplit pleinement. Je me cambre en arrière. Quel contraste entre ma peau claire et celle, sombre, de mon partenaire. Je ferme les yeux. Il est infatigable, mais surtout très attentif à mon plaisir.
    
    Il semble deviner toutes mes faiblesses, et par deux fois il m’amène à l’extase. J’oublie tout. Moi, la jeune fille inexpérimentée, je suis devenue une femme avide de plaisir. Il m’allonge sur le lit pour me prendre avec une violence inouïe. Ses testicules heurtent mes lèvres intimes avec un clapotement indécent. La sensation est intense ! Son pénis cogne contre mon utérus m’arrachant un petit cri de plaisir à chaque assaut ! Le plaisir en est presque douloureux ! Mes seins ballottent en cadence…
    
    — Tu me sens bien ? me crie Thierry dans un souffle.
    — Oh oui ! Bien à fond ! Encore plus fort ...
    ... !
    
    Mon amant force encore son mouvement. L’orgasme arrive à nouveau, violent, spectaculaire. Mon vagin se contracte.
    
    — Je vais venir !! crie Thierry en tentant de se dégager.
    
    Instinctivement, mes jambes l’enlacent pour le maintenir prisonnier au fond de moi. Sa semence tiède inonde ma matrice et provoque un orgasme encore plus violent que les précédents. Je perds à demi conscience quelques instants.
    
    Nous reprenons nos esprits. Son sexe se rétracte au fond de moi. J’embrasse goulûment mon amant.
    
    — Ça te dirait, un bain de minuit ?
    — Oh oui, bien sûr !
    
    Le reflet dans la glace me renvoie l’image de mon sexe béant, de mes seins insolents érigés… Le corps d’une femme comblée, juste après l’amour.
    
    — Remets ta jupe et ton chemisier.
    
    Pour atteindre une petite crique isolée, nous marchons pieds nus dans les vagues qui viennent mourir sur la grève. Je suis nue sous ma robe, caressée par un souffle d’air frais venu de la mer. Un petit filet s’écoule de mon minou ouvert, glisse le long de ma cuisse. Mon vagin est un peu douloureux d’avoir été tant malmené. C’est encore une nouvelle sensation excitante !
    
    À plusieurs reprises, nous nous arrêtons pour nous embrasser. Mon corps est couvert de baisers. La sensation de mes seins se pressant contre le poitrail d’ébène me fait frissonner. Nos langues s’entremêlent, ses mains se glissent sous ma jupe, cajolent mes fesses nues. La bête redresse la tête sous le short hâtivement enfilé et, déjà, une exquise chaleur envahit ...
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