1. Découverte du plaisir


    Datte: 08/04/2018, Catégories: fh, jeunes, couleurs, grossexe, grosseins, vacances, plage, Oral pénétratio, init, Auteur: Coquine, Source: Revebebe

    Ma découverte du plaisir remonte à il y a presque trente ans. Je venais d’avoir 18 ans, plutôt grande, 1,73 m pour 63 kilos, blonde, yeux verts, hanches larges, des seins généreux et hauts perchés qui attisaient bien des regards de convoitise chez les garçons. Me voilà en Bretagne sans mes parents, accompagnée de Nathalie, une copine de lycée : une charmante petite brune menue, bien plus délurée, 18 ans comme moi !
    
    Après nous être installées dans notre chambre, nous sirotons un verre au bar pendant que Thierry, un animateur, nous présente les activités de la semaine. C’est un Antillais athlétique d’environ 25 ans.
    
    Nathalie se penche vers mon oreille :
    
    — Ça ne te plairait pas de sortir avec lui ?
    — Il n’est pas mal en effet ! Ça m’étonnerait qu’il veuille ! Je suis trop jeune pour lui.
    — Il est bien sorti avec moi l’année dernière ! Et tu sais ce qu’on dit sur les blacks ?
    — Oui, je sais : ils ont un gros zizi et ils font ça très bien !
    — Écoute-moi ! Profites-en ! Tu es mignonne, alors fonce ! Et tu ne peux pas savoir comme les Antillais veulent être à la hauteur de leur réputation, ainsi que leur attirance pour les blondes ! Et puis, avec lui, tu es certaine de grimper aux rideaux ! C’est un sacré amant ! Ne dis pas que tu préfères un puceau qui va tout lâcher tout tout de suite !
    
    Il est vrai que ma première expérience avec un garçon avait ressemblé à ce scénario. Je reconnais bien là mon amie : depuis que nous nous connaissons, elle a toujours été une ...
    ... sacrée friponne et ne cache pas sa préférence pour des partenaires un peu plus âgés et surtout plus expérimentés.
    
    Thierry a achevé son exposé et vient nous saluer.
    
    — Bonjour Nat, comment tu vas ?
    — Très bien. Je te présente Françoise, une copine.
    
    Il m’adresse un sourire enjôleur en me déshabillant du regard.
    
    — Salut.
    
    Il se penche pour me faire la bise ; il sent bon l’eau de toilette. Sa main fraîche effleure mon épiderme. Des frissons parcourent mon corps. Je me surprends à rougir, intimidée, un peu honteuse de désirer ce garçon.
    
    — Alors à ce soir, à la soirée dansante !
    — On compte sur toi, surtout Françoise ! lance mon amie comme un défi, en me donnant un coup de coude dans le dos.
    
    Aujourd’hui, je me sens mignonne et craquante.
    
    — Tu lui as tapé dans l’œil, ma vieille ! La nuit est à toi !
    — Tu crois ?
    — Bien sûr ! On va aller regarder dans tes fringues.
    
    Notre choix se fixe sur un ensemble deux pièces, un ample chemisier se boutonnant par le devant et qui met bien en valeur ma poitrine généreuse, et une jupe qui s’arrête au-dessus du genou. Pas de soutien-gorge pour soutenir des seins insolents qui, à cette époque, n’en avaient nul besoin !
    
    — Tu ferais bander un mort ! déclare Nat en pouffant de rire.
    
    De son côté, elle revêt un pantalon serré et un charmant chemisier en dentelle, mettant bien en valeur son corps mince et ses petits seins menus.
    
    À la soirée, Thierry est déjà là. Il nous sourit en m’apercevant. Il porte une chemise à fleurs à ...
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