Modeste - Histoires de Sexe

Modeste

... vie, je sens toute la douceur d'une vraie femme.

Quand elle me guide dans son fourreau, je la sens m'embrasser avec une passion renouvelée. L'homme derrière moi commence des mouvements de va-et-vient en moi. Je l'imite en reproduisant ses mouvements dans la jeune fille qui se met à soupirer. Elle s'écarte de moi et dit quelques mots. « Oh oui papa! »

Ces mots encouragent l'homme qui se met à me pénétrer avec vigueur. Je sens la main de la femme âgée glisser sur le ventre de la jeune fille. Elle se met à caresser la vulve et la framboise de la jeune fille, lui extirpant des râlements d'appréciation. La jeune fille m'embrasse à nouveau. La femme âgée caresse à tout de rôle le sexe de la jeune fille et ma verge. Toute cette attention m'envoie au nirvana. Je n'ai résisté qu'une minute de plus avant de sentir un orgasme puissant me frapper. L'homme déversait déjà son foutre en moi et la jeune fille, au son de mes cris de joie, s'est mise à crier elle aussi. J'étais couverte de sueur et remplie de foutre.

Pendant le reste de la soirée et de la nuit, j'ai continuellement servi de courroie de transmission pour des amours interdits. J'étais un tampon qui permettait de justifier l'injustifiable. C'était mon nouveau rôle, je croyais. Je ne peux me souvenir du nombre d'hommes qui m'ont utilisé ce soir-là. Ce fut la dernière fois que mon mari m'a prêté ainsi à ses amis du village.

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Quand on m'a attachée dans un beau lit propre, après m'avoir douché, j'avais le cul en ...

... sang. Je croyais que c'était le résultat de la perte de ma virginité. Le chinois a dû veiller à moi pendant plusieurs jours avant que la douleur se résorbe totalement.

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Deux mois plus tard, j'ai eu ma petite fille, Sarit. Elle avait un mois. Je pouvais la nourrir avec mes seins et toute la journée m'en occuper. Yankel m'attachait au lit de Sarit tous les soirs. Je ne couchais plus avec mon mari. Yankel était mystérieux quant à sa provenance jusqu'au jour où il m'a avoué avoir une maitresse qu'il me présenterait bientôt. Il m'a dit que Sarit était la fille de sa maitresse, mais qu'elle ne pourrait pas s'en occuper pour plusieurs mois encore.

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Six mois plus tard, Yankel m'a annoncé que sa maitresse viendrait vivre avec nous dans les prochains jours. Elle sera la gouvernante et la nourrice de Sarit. Cela nous permettra de retrouver notre intimité et de voyager. Bien que je sois terriblement jalouse de cette femme qui a enfanté ma petite Sarit, je suis heureuse de pouvoir retrouver mon Yankel.

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La semaine suivante, quand Yankel m'a dit qu'il allait chercher sa maitresse et notre future gouvernante je m'attendais qu'il quitte la villa pour aller en ville où il m'avait dit que la petite Sarit avait été conçue. Je fus surprise de le voir partir pour le sous-sol et revenir avec une belle femme, une blonde aux yeux bleus. Elle est habillée sobrement d'une robe longue de maternité en coton blanc qui laisse voir ses gros seins nourriciers. La femme, la mère ...