1. Modeste


    Datte: 01/06/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bylapassagere, Source: Literotica

    ... des derniers mois.
    
    « Nooon! Non! Pas lui! Laissez-moi! Yankel, s'il te plait! Pas mon fils.
    
    — Tu n'as plus de fils Michaël, comme je n'ai plus de nièce. Tu sais la jeune fille à qui tu as enlevé la virginité. Elle n'existe plus pour sa famille.
    
    — Je ne savais pas Yankel. Fais-le arrêter. Je ferai tout ce que tu veux.
    
    — Mais tu fais déjà tout ce que je veux. »
    
    Je caressais toute la verge de mon père. Je le sais près de l'orgasme. Yankel me prend par les hanches et me force à lever les fesses, à mettre mes jambes droites et à me placer le dos parallèle au sol. Il soulève ma robe qu'il friponne autour de mon ventre. Ensuite, il me retire ma culotte blanche en dentelle qui se trouve momentanément autour de mes chevilles. Je soulève un pied puis l'autre pour la faire tomber au sol et pour qu'elle ne me gêne pas.
    
    Yankel caresse déjà ma rosette avec sa verge dure et humide. C'est le moment que j'attendais depuis plusieurs semaines. Mon mari va enfin me prendre, m'enlever ma virginité. J'appuie mon cul sur sa verge qui caresse ma raie. Yankel place ses mains délicatement sur mes hanches. Je le sens appuyer sur ma rosette. Je ferme les yeux. La femme m'a préparé à accepter et chérir la douleur de la première fois. Elle m'a expliqué la grande jouissance que je ressentirai une fois que la douleur se résorbera.
    
    J'abandonne un instant la verge devant moi pour soupirer quand je sens le gland de mon mari me pénétrer doucement. Quand je remets les lèvres sur la verge de ...
    ... mon père, je sens déjà la première contraction. Yankel me pénètre et se penche sur moi.
    
    Mon père cri au moment où la jouissance le frappe.
    
    Yankel me susurre à l'oreille. « N'avale pas son jus, garde-le bien dans ta bouche femme. »
    
    Il me caresse les seins et demeure entièrement en moi. Déjà la douleur disparaît de mon fondement. Mon père prend quelques secondes pour se vider dans ma bouche. J'attends un peu plus en le suçant pour retirer les dernières gouttes de son sexe. Yankel me fait relever et me force à avancer vers mon père.
    
    Je sais ce que mon époux veut. Les hommes tiennent solidement mon paternel. Je passe mes bras autour de son cou et je dépose mes lèvres luisantes sur les siennes. Il se recule voilement et cri « Nooon! » Les hommes noirs se déplacent. Ils prennent le contrôle de la tête de mon père. Je m'approche à nouveau et je dépose mes lèvres sur les siennes. Lentement, je sors ma langue et je caresse ses lèvres fermées.
    
    « Laisse mon épouse t'embrasser Michaël. » Les paroles de Yankel sont prononcées avec beaucoup de douceur malgré la violence qui nous entoure.
    
    Ma langue est bloquée par les dents de Michaël, mais je continue de l'embrasser et de le caresser avec ma langue. Éventuellement, je sens ses mâchoires se décrisper. Ses dents s'écartent un peu. Je glisse ma langue dans la bouche et fais basculer un peu ma tête. La bouche de mon père se remplit de son sperme dont je badigeonne toute la cavité. Après quelques minutes, Yankel me tire vers ...
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