1. Une expérience banale mais inoubliable


    Datte: 01/06/2020, Catégories: h, hh, inconnu, voiture, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral jeu, init, confession, Gay Auteur: Vittorio, Source: Revebebe

    ... sucé.
    
    Je sortais de temps en temps sa bite de ma bouche pour à nouveau la coller contre mon visage et sentir ses palpitations. Je ne me reconnaissais pas ; j’étais comme dans un état second, j’aimais sa bite, je l’aimais follement, j’avais envie de la sentir se frotter sur chaque centimètre carré de ma peau, de mon corps. Cette bite douce et dure à la fois, palpitante et vivante, dressée fièrement et courbée vers son ventre, je la sentais avec mes mains, ma langue, mon visage, je la sentais et je la voulais gorgée de désir, du même désir qui m’enflammait et me rendait fou. J’aurais continué longtemps, très longtemps comme ça, s’il ne m’avait pas demandé gentiment de me lever. Ensuite quand il a pris sa bite dans sa main et commencé à se branler rapidement j’ai compris que c’était fini. Mes douces protestations :
    
    — Non pas tout de suite, j’en veux encore. Ne jouis pas tout de suite…
    
    … ont peut-être eu l’effet inverse et ont accéléré son orgasme. Il a joui sur une des pages de la revue qu’il regardait tout à l’heure. J’ai un instant ...
    ... pensé à reprendre sa bite, je l’ai prise dans la main mais il débandait et ce n’était pas du tout pareil que tout à l’heure. J’ai essuyé ma main avec un mouchoir et remonté mon short et je lui ai demandé s’il voulait bien me laisser près de la maison que je louais. Je pense qu’il se sentait un peu coupable de ne pas m’avoir donné du plaisir en échange, il a voulu me toucher et me branler mais pour moi le cœur n’y était plus, je ne voulais pas qu’il me branle. On s’est séparés quelques minutes plus tard en échangeant un petit sourire.
    
    À la maison de campagne j’ai passé le reste de l’après-midi à penser à Alain, mon ami d’adolescence. À ce que nous aurions pu faire ensemble et que nous avons bêtement censuré. Je me suis branlé en passant ma main sur mon visage et mon cou, là où tout à l’heure j’avais senti se frotter la bite du conducteur, ensuite je goûtai à mes doigts, comme s’ils avaient gardé le goût de sa bite.
    
    Ma seconde expérience, je l’ai vécue à Paris, dans un sauna près de la gare de Lyon. Je la raconterai la prochaine fois. 
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