Une expérience banale mais inoubliable - Histoires de Sexe

Une expérience banale mais inoubliable

... qui partait dans les bois. Le dos à la voiture je m’y suis arrêté pour pisser. Ma queue bandait à moitié et ça me faisait un bien fou de la secouer et la toucher. Lentement je me suis retourné vers la voiture et maintenant le conducteur paniqué pouvait voir mon sexe. Pourquoi je faisais cela ? Je n’en sais rien et j’étais comme guidé par un désir inconscient : la situation me plaisait.

Le conducteur, un homme d’une trentaine d’années, s’est baissé sur le siège à côté et a ouvert la porte du côté droit de la voiture. L’invitation à monter était claire. Comme un automate je me suis trouvé assis sur le siège à côté de lui. Après quelques secondes d’indécision et de doute, le conducteur de la voiture a repris la suite de ce qu’il faisait ; il a ouvert sa braguette, sorti son sexe encore bandé et commencé à le caresser. La revue porno était ouverte et posée sur le tableau de bord. Je ne bandais plus mais mes yeux ne quittaient pas une seule seconde sa bite. J’ai avancé doucement la main et posé la paume sur son gland ; il a retiré sa main ; en appuyant la paume de ma main sur son gland j’ai lentement et délicatement refermé mes doigts sur cette merveilleuse colonne de chair chaude et douce et en même temps tendue au point d’exploser. Un soupir de plaisir s’est échappé de ma bouche. Je me suis aperçu que je recommençais à bander dans mon short.

J’ai avancé l’autre main et je tenais sa bite entre mes deux mains. Je ne la branlais pas, j’étais trop occupé à découvrir des ...

... sensations nouvelles pour penser à le branler. Je frôlais du bout des doigts sa bite, je faisais glisser la peau du prépuce sur le gland, j’ai fait un cercle avec mon pouce et mon index qui touchaient à peine son sexe et j’ai fait comme ça un va-et-vient sur sa bite. Le conducteur, la tête appuyée contre l’appui-tête, fermait les yeux et respirait rapidement. Je n’avais pas la notion du temps mais je crois que j’ai mis longtemps à palper, frôler, caresser délicatement sa bite. Je me rappelle que je bandais dur, tenant toujours sa bite dans la main gauche, j’ai baissé avec la main droite mon short pour libérer mon sexe gros et tendu.

Ensuite je me suis baissé et j’ai collé ma joue contre sa bite, la bouche entrouverte j’ai laissé échapper un gémissement de plaisir à ce contact. Mon visage collé contre sa bite, je l’ai fait glisser sur ma figure puis tout au long de mon cou. Comme un affamé qui trouve désespérément de la nourriture, je me frottais frénétiquement le visage et le cou contre mon bel objet de désir. J’étais presque couché sur le côté gauche et ma tête était entre ses jambes. Il a passé la main droite par-dessus mon corps et a saisi ma bite. Il ne faisait pas comme moi, il me branlait franchement. Dans ma folie, j’ai ouvert la bouche, sorti ma langue et j’ai léché sa bite sur toute sa longueur, d’abord prudemment et ensuite comme un gamin qui lèche une glace à pleine bouche, je l’ai léché goulûment, j’y ai frotté mes lèvres, j’ai pris le gland dans ma bouche et ...