Yolen et les endochlorates - Histoires de Sexe

Yolen et les endochlorates

... décidé :

— Attendez, je vais vous montrer.

Et hop ! Elles étaient quand même hallucinantes, toutes ces nanas ! Elle me fit donc grimper sur une sorte de fauteuil de dentiste flottant qu’elle fit voleter jusqu’à avoir ma bite bien sous les yeux, et commença à étaler doucement son baume sur tout mon sexe, le tout en me lançant ses yeux ensorceleurs, tiraillés entre l’envie et l’embarras.

— Euh… c’est surtout le bout, là, qu’est un peu endolori.

Mais elle s’en foutait franchement et me branlait carrément, de ses deux mains. Et elle s’y prenait bien. De temps en temps, elle remettait un peu de son baume, sans doute pour avoir un vague prétexte. Je tendis une main pour caresser doucement sa poitrine somptueuse.

— Normalement, ce baume agit rapidement, m’expliqua-t-elle au bout de quelques minutes.

Elle lâcha mon sexe gonflé à exploser, et effectivement déjà moins douloureux. Je la suppliai du regard de ne pas en rester là. Dans ses yeux enflammés ne se lisait plus que désir.

— Nous allons faire un test… reprit-elle en ôtant sa jupette. Si cela vous fait mal, nous remettrons du baume.

***

Neuvième lunaison de l’an 539, seconde hexade, 55 h 40 :

Même problème. Yolen finit par s’effondrer d’épuisement au bout de plus d’une heure d’une baise exceptionnelle au cours de laquelle je n’avais pas faibli d’un iota et avais propulsé ma partenaire au septième ciel à plusieurs reprises. Ses cris avaient même alerté trois autres nanas, qui revenaient sans doute ...

... de bouffer dans la grande salle voisine, et étaient reparties rassurées quant au sort de leur femme-médecine après nous avoir observés baiser un moment. Mais je n’avais pas joui. Par contre, c’est vrai, je n’avais plus mal. Son baume était exceptionnel.

— Ouaaaoouuh ! Qu’est-ce que c’est bon ! J’ai jamais ressenti un tel plaisir !

Même si c’était la septième ou huitième fois que j’entendais ça en vingt-quatre heures, ça me faisait toujours de l’effet… Étendue par terre, elle caressait nonchalamment ses gros seins en me couvant d’un regard mêlé de gratitude et d’extase.

— Est-ce que… marmonna-t-elle, est-ce que vous m’avez… ensemencée ?
— Non. Je sais pas ce qui se passe, mais ça sort pas, en ce moment.
— Ce n’est pas grave, nous recommencerons plus tard, acclama-t-elle, enchantée.
— Oui, je reviendrai sous peu pour un nouveau bilan… répondis-je en regardant son corps splendide.
— Oh, c’est vrai ! Le bilan ! s’alarma-t-elle soudain.
— Laisse tomber, je suis en pleine forme. On le fera une autre fois.

Je ramassai mon espèce de vêtement et le nouai à nouveau autour de mon bassin, englobant de la façon la plus décente possible mon sexe toujours au sommet de sa forme. J’avais peut-être un peu abusé de la graisse de ponge, quand même. Yolen se releva péniblement, visiblement à bout de forces, et rajusta sa jupette en soupirant. Elle me confia l’espèce de gobelet dans lequel se trouvait son onguent magique de brantomachin. J’allais devenir une véritable pharmacie ...