1. Yolen et les endochlorates


    Datte: 31/05/2020, Catégories: fh, fffh, médical, bain, Oral pénétratio, Humour sf, sorcelleri, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... quelques affaires. Pensez-y.
    — Ah… euh… ben… y a pas d’urgence non plus, hein… on verra, on en reparlera.
    
    ***
    
    Neuvième lunaison de l’an 539, seconde hexade, 54 h 30 :
    
    — Bonjour, que puis-je pour vous ?
    
    Yolen avait non seulement une voix charmeuse, mais aussi des yeux ensorceleurs, un beau visage, aux jolis traits presque enfantins malgré sa trentaine bien prononcée, et surtout, surtout, elle avait une poitrine à tomber par terre ! Et son cul, que je devinais sous sa jupette, me donnait bien envie aussi ! Elle était debout derrière une sorte de grosse machine flottante qui semblait lui servir à la fois de bureau et d’ordinateur. Tout autour d’elle trônaient plein d’autres engins plus ou moins inquiétants. En regardant finalement les seins de la fantastique infirmière, je répondis :
    
    — Il… il paraît qu’il faut que je fasse un bilan complet assez régulièrement.
    
    L’idée me gavait sévère au départ, mais à présent, ça m’amusait nettement plus.
    
    — Ah oui, je suis au courant. Voulez-vous que nous fassions ça maintenant ?
    — Comme vous voulez, répondis-je, ravi.
    — Eh bien allons-y. Déshabillez-vous.
    — Euh… vous êtes sûre ?
    
    J’hésitais quand même. J’avais toujours ma gaule de la mort, et même si l’idée m’emballait, j’étais pas venu là dans le but de tringler Yolen. Je savais pas trop non plus comment elle allait réagir en voyant ma bite tendue.
    
    — Oui, ces toges sont en fibres carboniques et risquent de compromettre certains tests, me répondit-elle très ...
    ... professionnellement.
    — Bon… comme vous voudrez.
    
    Finalement, ça m’amusait. Je crois qu’à nouveau, j’étais envahi d’une réelle excitation qui prenait le pas sur l’effet de la graisse de ponge. Je dénouai donc ma grande tunique et me dévoilai nu comme un ver à la charmante infirmière. Malgré elle, elle écarquilla les yeux et resta bloquée sur mon organe toujours raide comme jamais. Et pendant qu’elle matait ma bite, moi je matais ses seins.
    
    — Ah oui, j’ai un autre problème, aussi : j’ai le sexe quelque peu endolori de m’être trop accouplé. Vous n’auriez pas un truc apaisant ?
    — Euh… vous disiez ? fit-elle assez lourdement en sortant de sa contemplation.
    
    Je répétai ma question en me marrant intérieurement.
    
    — Hmmm… attendez… peut-être qu’un onguent d’oxyvanille… ou… non, plutôt un baume de brantolliane…
    — Si je puis me permettre, il faudrait quelque chose qui ne risque pas d’irriter mes partenaires.
    — Oui, un baume de brantolliane. C’est ce que nous utilisons aussi lorsque… enfin… il nous arrive d’en prendre aussi… Attendez.
    
    Elle se mit à tapoter à toute allure sur son bureau flottant ; ça déclencha apparemment une grosse machine, derrière elle, qui me fit penser à une cafetière géante, vers laquelle se tourna finalement l’infirmière. Je dévorai ses fesses des yeux pendant les quelques secondes qu’elle passa retournée.
    
    — Tenez, voilà. À appliquer sur les tissus douloureux. Une petite dose suffit.
    
    Avant que j’aie pu répondre quoi que ce soit, elle ajouta d’un air ...