1. Justine à Paris (2)


    Datte: 30/05/2020, Catégories: Trash, Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    ... aréoles entre pouce et index et les fait rouler, les écrase et les tord.
    
    — Aïe ! Vous me faites mal, doucement !
    
    — Je le sais, mais tu aimes ça, n’est-ce pas, être rudoyée. Je suis sûr que tu mouilles ta culotte tellement tu es excitée.
    
    — Oh ! Vous n’êtes qu’une brute ! Plus doucement, je vous en prie...
    
    — Tais-toi, tu m’énerves avec tes jérémiades. Tu t’habitueras vite à être rudoyée.
    
    Il serre et tord encore plus fort, la douleur traverse mes bouts de seins. Je vais avoir des marques, des hématomes ce soir, s’il continue. Mais je n’essaie pas de m’échapper, car je ne suis pas sûre que mes jambes flageolantes me porteraient. En même temps mon vagin inonde ma petite culotte sous ses attouchements rustres. Sans m’en rendre compte je gémis sourdement.
    
    — Demain, pas de pantalon, tu m’entends ! Je veux que tu portes une robe ou une jupe. Tu as compris ?
    
    Il me prend pour une débile ? Bien sûr que j’ai compris. Je hoche la tête, incapable de parler à cet instant. Dans la journée, je finalise avec Julien la création et l’hébergement d’un site pour une société lilloise, je suis super contente car c’est mon premier contrat achevé, même si je ne l’ai pas suivi depuis le début. Le soir, je vais avec mes colocs à la piscine Molitor, ce qui me fait un bien fou. J’adore nager et ça me manquait. En revenant, je choisis ce que je vais porter le lendemain : une robe estivale en coton d’un bleu pâle assorti à mes yeux.
    
    Je passe une bonne nuit, il n’empêche que je suis ...
    ... anxieuse en arrivant sur le quai de la station. Je n’ai pas longtemps à me ronger les sangs, car une rame arrive presque aussitôt. Je me précipite, pensant que peut-être « ils » ne sont pas encore là. Et puis je sens leur présence derrière moi. Mortifiée par le soulagement que je ressens, je pose le front contre la vitre. Déséquilibrée quand le métro démarre, je me retrouve serrée contre le géant noir, comme je l’appelle. Je réalise alors que je ne sais même pas son prénom.
    
    — Bonjour Justine. Je vois que tu m’as obéi. Je ne suis pas très content malgré tout ; ta robe est très jolie mais elle te couvre trop. Trop longue, pas très sexy. Je ne peux même pas toucher tes gros nichons directement. Ou alors il faut que je passe par le bas.
    
    — Ah non ! Vous ne pouvez pas faire ça ! protesté-je, affolée.
    
    — Tu n’as pas à me dire ce que je peux faire ou non ! tempête-t-il.
    
    — Pardon, mais je ne suis pas riche, je n’ai pas beaucoup de robes et aucune sexy, comme vous dites !
    
    — D’accord, mais celle-ci te descend aux mollets, elle a des manches longues, tu te fiches de moi ! Et j’aime pas ça, du tout.
    
    Il me fait un peu peur, malgré mon excitation indéniable. Son ton est menaçant, le reflet de son visage dans la vitre me montre son énervement. Merde, quand j’ai mis cette robe je croyais qu’il serait content, et maintenant... Je cherche ce que je peux faire pour l’amadouer, je n’ai pas envie de le rendre encore plus furieux.
    
    — Je... Si vous voulez, je raccourcirai la robe ...