Justine à Paris (2)
Datte: 30/05/2020,
Catégories:
Trash,
Auteur: Matt Demon, Source: Xstory
Je réprime un cri quand deux mains se posent sur mes épaules contractées, pouces sur mes omoplates, et commencent à faire rouler mes muscles crispés.
— Bonjour, ma belle. Tu as bien fait de m’obéir, je n’aime pas quand on me résiste. Je deviens méchant. Et même très méchant. Tu vas bien ?
— Oui...
J’ai répondu d’une voix étranglée, presque inaudible. Il me fait peur soudain avec ses menaces à peine voilées. Mais j’apprécie le travail de ses doigts sur mes épaules crispées qu’il masse lentement, je ne bouge plus, respirant par à-coups.
— Calme-toi, petite. Je ne te veux aucun mal, tant que tu m’obéis. Comment tu t’appelles ?
— Justine.
— Justine ? C’est mignon, comme prénom. Ça te va bien. Tu as peur de moi ?
— Un peu.
— Bien. Tant que tu fais ce que je te dis, tu n’as aucune raison d’avoir peur.
Bien sûr, je vais le croire. D’ailleurs je réalise que je n’ai pas peur de lui, mais de moi. De ce que je suis capable de faire ; je n’avais qu’à monter dans le wagon de tête et je suis sûre qu’il ne m’aurait plus importunée. Je frémis alors que ses mains descendent entre la vitre et moi pour couvrir ma poitrine. Je retiens un gémissement et halète comme il empaume mes seins et fait saillir mes tétons. Il les pince à travers le tissu et tout mon corps vibre.
— Demain, pas de soutien-gorge. Tu as de beaux seins, pas besoin de les comprimer inutilement. Tu as quel âge ?
— Dix-huit ans.
Ses mains quittent ma poitrine quand nous entrons dans une ...
... station, elles caressent mes hanches, mes fesses, se faufilent sous mon tee-shirt et jouent sur mon ventre qui se contracte. Je ne vois pas le temps passer, je suis dans un nuage, entre béatitude et inquiétude. Quand il recule et me laisse, je me rends compte que la rame s’immobilise à Jussieu.
La journée passe rapidement, comme la veille, à exécuter une tâche qui me plaît beaucoup. Revenue à l’appartement, je vais courir une bonne heure dans le bois de Boulogne. Le mercredi matin, je suis à mon heure habituelle sur le quai, attendant devant l’endroit où stoppera l’arrière de la rame. Je ne regarde pas autour de moi, mes écouteurs diffusent une playlist de dance réalisée par une coloc. Mais je sais qu’ils sont là, derrière moi. J’entre dans la rame et comme la veille, je vais au fond du wagon. Ils m’encadrent déjà, avant que la rame ne démarre. D’autorité, le géant empoigne mes seins à travers mon tee-shirt. Il ne s’embarrasse pas de fioriture et les serre fort, faisant saillir mes mamelons qui durcissent vite.
— Tu as obéi, c’est bien. Je déteste quand on me résiste, je te l’ai déjà dit. Tu aimes ce que je fais ?
— Pas trop, vous me faites mal.
— Dommage, parce que j’adore tordre les gros nichons comme les tiens.
— D’accord, mais vous pourriez faire plus doucement, quand même.
— Oui, je pourrais. Mais je préfère comme ça.
Sans transition, il glisse ses mains sous mon tee-shirt et saisit à nouveau mes globes jumeaux, sans douceur. Cette fois il croche mes ...