La Gestionnaire (22)
Datte: 30/05/2020,
Catégories:
Trash,
Auteur: hugo_g, Source: Xstory
... nous.
— Tu es d’accord, j’espère...
— Oui Madame...
— A compter d’aujourd’hui, tu vivras ici. Tu iras à ton travail et tu reviendras passer la nuit au château. Ta vie sera organisée et planifiée comme nous le voulons. Nous souhaitons faire de toi une esclave parfaite, utile et socialement adaptée à nos désirs. Tu suivras les horaires suivants : réveil à sept heures, gymnastique avec Virginie, toilette à huit heures, petit-déjeuner à huit heures vingt départ pour ton travail à huit heures trente, travail de neuf heures jusqu’à douze heures, repas pris à notre maison de N, jusqu’à treize heures trente, quatorze heures travail jusqu’à dix-huit heures. Tu devras être de retour au plus tard à dix-huit heures trente. Dès ton arrivée, tu devras te laver et prendre ta tenue d’esclave : chaussures hautes, bas...
— C’est tout...
— Tais-toi, c’est la tenue officielle des esclaves de notre confrérie. Tu satisferas les envies de FX et nous mangerons à vingt heures. Après, tu dépendras de nos désirs et envies du moment.
— Mais...
— Il n’y a pas de mais...
Anaïs se lève et tourne autour de moi.
— Nous allons examiner la bête...
— Ecarte bien tes coudes !
Je n’ai pas réagi suffisamment vite. Anaïs sortant une cravache de sa soutane, assène un coup cinglant sur mes fesses. Je hurle devant le coup qui m’a surpris. Aussitôt je plaque mes mains sur mes fesses.
— Ah oui, j’oublie ! Ajoute Anaïs, je ne répète jamais les ordres. Il y a une échelle des sanctions, ...
... que tu découvriras, la punition de base est le coup de cravache. Si tu es rétive, cela peut aller beaucoup plus loin. Un bon conseil, ne pas chercher à en savoir plus.
Mes larmes coulaient sur mes joues. La violence du coup sur mes fesses m’a fait très mal. Anaïs ne semble pas particulièrement émue. Elle commence son examen. Elle me fait ouvrir la bouche et regarde mes dents.
— Jolie bouche, dents saines et blanches. J’en connais certains qui vont aimer vider leur bitte dans ce joli réceptacle...
Elle poursuit la découverte de mon corps. Elle saisit mes cheveux et me secoue la tête :
— Cheveux bien plantés...
Elle est face à moi.
— Virginie, le centimètre...
Virginie tend un centimètre de couturière.
— Nous allons prendre tes mensurations...
Elle passe le ruban plastique dans mon dos. Il est froid et la sensation fait immédiatement réagir mes seins. Les pointes se dressent. Anaïs le remarque :
— Toutes les méthodes sont bonnes pour faire croire que tu as des gros seins. Elle tend le ruban. 92 centimètres, ordinaires. Ils pourraient être plus gros, les hommes aiment bien les grosses mamelles, les grosses loches...
Je ne dis rien. Pourtant, je sais que tu aimes bien mes seins, surtout parce qu’ils ne tombent pas. Elle rend le centimètre et saisit entre des doigts mes tétons. Elle les malaxe, tire sur les pointes. Elle cherche à trouver des défauts à fermeté et l’élasticité de mes attributs mammaires. Elle empaume mes seins en entiers.
— Pas ...