La Gestionnaire (22)
Datte: 30/05/2020,
Catégories:
Trash,
Auteur: hugo_g, Source: Xstory
... mal. La peau est tendre et élastique.
Je pleure tant l’humiliation est forte. D’un geste énergique, Anaïs saisit mon collier et me guide vers le fauteuil.
— Assis toi, les cuisses sur les accoudoirs...
Je peine un peu à trouver mon équilibre, sur mes reins. Mon sexe et mon cul sont libres de toute entrave. La position fait que je suis ouverte à tout. Virginie me place les bras au-dessus de la tête. Ils sont maintenus étroitement en position à l’aide de lanières autour de mes poignets. Mes chevilles, ma taille et mon cou sont immobilisés de la même manière. Anaïs s’approche et se place entre mes cuisses béantes. Elle s’empare de pinces métalliques et, après avoir appuyé sur mon ventre, dégage mon sexe. Elle les fixe sur mes grandes lèvres. Immédiatement, je crie ma douleur. Anaïs me gifle à plusieurs reprises par des allers-retours cinglants.
— Si tu continues, je te bâillonne, tu verras, c’est encore beaucoup plus pénible !
Les pinces sont reliées à de fines chaînettes. Virginie les fixe aux montants du fauteuil. Ainsi, mon sexe est largement ouvert. Virginie procède de la même façon avec mes petites lèvres. Mon vagin est ainsi exposé aux vues des deux bourreaux. Anaïs augmente la tension des chaînettes ce qui me fait gémir encore plus. Cette fois, je suis ouverte. Mon sexe est grand ouvert, béant. Tout mon ventre est visible jusqu’au plus profond de mon être. J’ai honte d’être montrée, exposée telle une bête. Anaïs me malaxe le clitoris. Mes larmes ...
... redoublent. Elle me fait mal avec beaucoup de science et de savoir-faire. Je suis sûre qu’elle prend un plaisir malsain à ces agissements.
— Elle n’est plus vierge mais les chairs sont souples et toniques.
Elle plonge trois doigts dans mon sexe. Elle replie ses doigts en crochet et retire sa main. Ses ongles griffent mes muqueuses. Mes larmes coulent encore. Anaïs se penche aux pieds du fauteuil. Un ronron se fait entendre. La table se met à bouger. Mes jambes sont relevées vers le haut. Le mouvement ne s’arrête que lorsque je suis les pieds à la verticale de mon ventre et les cuisses à l’équerre. Mon ventre est tellement ouvert que s’il pleut dans la pièce, mon sexe se remplirait d’eau. Mais dans cette position c’est surtout mes fesses et mon petit cul qui sont mis en valeur. Mon anus est dégagé, offert aux vues de deux jeunes femmes.
— Cet endroit de ton corps est très important. Pendant ton éducation, tu seras régulièrement pénétrée par là. As-tu déjà été enculée, Charlotte ?
— Oui Madame, Mon Maître Jérôme m’a initiée à cette pratique...
— Nous allons découvrir cela...
Virginie sur un coup d’œil d’Anaïs saisit un objet métallique. En me tordant le cou, je peux apercevoir les mains des jeunes femmes. Elle m’introduit une sorte de canule mécanique dans l’anus. Elle n’a pas pris la précaution de m’enduire l’anus d’un corps gras, la pénétration est difficile. J’ai beau y mettre du mien, me détendre, me relâcher, pousser sur ma rondelle fripée, la douleur est là. Je ...