Mes deux nouvelles voisines : la fille ou sa mère ? - Histoires de Sexe

Mes deux nouvelles voisines : la fille ou sa mère ?

... envie d’être grand-mère. Pas maintenant, en tout cas.
— Tu serais sans doute la grand-mère la plus sexy de France, dis-je avec humour.

Je me demande si elle sait quelque chose pour Jess et moi. Mais je m’en fous un peu, car à cet instant précis, c’est elle que je veux…

— Donc, voilà… toi et moi… rien du tout. Ce qui ne nous empêche de faire sagement de la musique, bien sûr.

Je ne peux m’empêcher de la prendre par les hanches et de caresser doucement ces dernières. Elle a beau dire, elle ne me repousse pas.

— Tu sais que je vais te déshabiller du regard tout l’été si tu reviens jouer comme ça ?
— Tant mieux.

Elle pose ses lèvres contre les miennes. Elle ne sait vraiment pas ce qu’elle veut. Typiquement les femmes, ça. Décidant de l’avoir par surprise et allant contre ses recommandations, j’embrasse ses lèvres puis glisse une main sous son kilt. Je plaque mes doigts entre ses cuisses.

— T’es bien chaude quand même, murmuré-je en la caressant du bout des doigts.

Quel contact savoureux ! Hier, je caressais et léchais sa propre fille. Les femmes de cette famille sont délicieusement sensuelles et coquines, dirait-on.

— Peut-être que tu me fais un peu d’effet.

Elle met ses bras autour de mon cou et plaque mon visage contre ses seins. Même à travers son haut et son soutif, je devine leur chaleur, leur fermeté. Ses beaux seins que tétait Jessica il y a une vingtaine d’années, alors que j’étais moi-même en train de jouer au bac à sable. Je continue de ...

... glisser mes doigts le long de ses petites lèvres que je devine sous sa culotte. Je sens sa respiration s’accélérer, ayant la tête sur sa poitrine. Son rythme cardiaque augmente aussi.

— Mais on ne fera rien, mon petit. Je pourrais être ta mère, tu sais.

Cette pensée ne me calme pas, et je continue de la caresser.

— Ce serait très mal, ajoute-t-elle.
— En attendant, ça te plaît bien de faire bander un gamin qui pourrait être ton fils.

Pour toute réponse, elle plaque encore un peu plus mon visage contre elle.

Alors que je m’apprête malgré tout à glisser mes doigts sous sa petite culotte, elle s’écarte soudainement de moi et se retrouve aussitôt debout. Elle essaie de se composer un visage un peu plus acceptable.

— Que ce moment reste pour toi un agréable souvenir. Je peux pas te donner plus, dit-elle, presque désolée. C’est pour ça que… Enfin, n’essaie rien : je serais obligée de te repousser. Mais on reste amis, et musiciens, ajoute-t-elle.

Elle continue de loucher étrangement en direction de mon sexe bandé sous mon pantalon… Sur le ton de la confidence, toujours debout, elle m’avoue :

— Lionel n’aime pas le sexe oral. Étonnant, hein ? Depuis que je le connais, pas une pipe, pas un cunni.
— T’es frustrée, quoi ! lui dis-je, un peu énervé.
— Sans doute, rigole-t-elle. Mais je suis une femme mariée.
— Tu t’es mariée trop tôt.
— Peut-être. Mais j’ai vécu avant de le connaître. J’ai eu des copains, et j’ai essayé pas mal de choses. Bon, j’étais ado, mais ...