Mes deux nouvelles voisines : la fille ou sa mère ? - Histoires de Sexe

Mes deux nouvelles voisines : la fille ou sa mère ?

... fauteuil. Elle remonte son pied gauche pour le poser sur la table basse qui nous sépare. Une vue magnifique sur son entrejambe, amplifiée par ses petits mouvements de cuisses. Sa jupe est bien remontée… Ce petit triangle de dentelle rouge et noire est tellement alléchant…

— À la musique ! lance-t-elle.
— Euh… oui… à la musique !

Nous portons nos verres à nos lèvres et commençons à déguster notre mélange. Délicieux, d’ailleurs.

— Tu fais quoi comme études, au fait ?

Alors que ses cuisses, ses seins, tout son corps me provoquent, son visage reste neutre et indifférent, comme si elle était vêtue de façon tout à fait conventionnelle.

— Je suis dans une prépa d’école de commerce.
— Ah, ça t’occupe, ça ! T’as pas bien le temps de goûter aux joies des nuits parisiennes !
— Oh, il y a toujours un moyen…
— Et c’est pour devenir quoi, plus tard ?

Comme 90% des étudiants, à cette question je réponds :

— Oh ben, je ne sais pas encore ; je verrai bien.

Elle a déjà vidé son verre à moitié. Impressionnant. Belle descente.

— Cul sec ? me dit-elle.

Préférant jouer le jeu, j’acquiesce. Et nous vidons le reste de nos verres d’un trait. Ça arrache un peu, mais une fois passé, vous vous sentez des ailes. Plus efficace que le Red Bull. Et elle aussi se sent pousser des ailes : alors que je pose mon verre, elle se lève soudain, grimpe sur la table basse, en redescend de mon côté, pose ses genoux sur le canapé. Se pose à califourchon autour de mes cuisses. Et me ...

... plaque contre le dossier du canapé. Si je n’étais qu’à moitié dur, là, maintenant, je bande franchement. Elle prend ma tête entre ses bras. Maintenant, je sais d’où Jess tient cette façon de se jeter sur moi. Cathy écarte les cuisses. Sa petite culotte frôle la bosse de mon pantalon.

« Je vais coucher avec une MILF, je vais coucher avec une MILF, je vais coucher avec une MILF… »

Alors qu’elle plaque ses seins contre mon torse, elle prend la parole. Et là, ça me paraît un peu compromis :

— Tes regards me flattent, mon petit. Ça fait toujours du bien de se sentir désirée, surtout quand son mari ne nous regarde plus trop. Malgré tout, ça fait 20 ans que je suis fidèle.

Pendant qu’elle dit ça d’une voix faible, elle passe cependant sa bouche sur mon visage, dans mon cou, dans mes cheveux ; elle frôle mes lèvres. Drôle de façon d’associer ses paroles et ses gestes. Je bande comme un fou. Cette petite maman aguicheuse, collée contre moi…- Comment résister ?

— Ben écoute, quand t’es à la batterie, quand même, tu cherches, parviens-je à protester.
— Chut, chut. J’ai bien le droit de te plaire, non ? Comme ça, tu fais de beaux rêves la nuit, répond-t-elle d’une voix langoureuse insupportablement excitante. Et puis, si ça peut t’éviter de t’intéresser trop à ma fille…
— Déjà, c’est toi qui m’en parlais hier, machin « Faudrait que tu rencontres ma fille, bla-bla… » Et puis, de toute façon elle est trop jeune, mens-je.
— Tu peux être ami avec elle, c’est tout. Je n’ai pas ...