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FANTASME AU BUREAU...
Datte: 29/05/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Alainylon, Source: Hds
... tenté de soutenir mon regard, et a finit par baisser les yeux. Se résignant, elle a dégrafé l’attache de sa jupe et la fit glisser le long de ses cuisses. Le chemisier trop court ne pouvait rien cacher de la culotte rose brodée. Qui moulait le pubis de son étoffe. Dont aucun poil ne dépassait. La toison semblait pourtant épaisse vue la bosse. Les cuisses étaient pleine, les hanches un peu grasses. Elle embaumait un parfum capiteux. - La culotte. - Quoi la culotte ? - Je la veux. Cela la fit rire. - Je ne sais pas comment je peux accepter cela. Vous me dégoûtez, espèce de salaud ! Fit-elle, d’une voix sourde. Avant de glisser ses mains aux longs doigts ornés de bagues sous l’élastique de sa culotte et la baissa lentement tout en soutenant mon regard. Puis elle a levé bien haut les jambes, dévoilant ainsi son sexe. Dont la vulve est épilée sur les bords, de part et d’autre de deux bourrelets fripés et mauves. Les lèvres étaient plus charnues sur le bas de la fente mauve foncé. Elle m’a tendu sa culotte. - Vous devez être du genre à vous branlez dedans, non ? Et bien que vous la donne de bon cœur. Lisait-elle dans mes pensées ? J’ai pris l’étoffe dans ma main, dont j’ai senti sentais l’humidité. Je l’ai glissé dans ma poche. - Et maintenant on fait quoi ? M’a-t-elle lancé. - Tant à faire, vous pourriez me montrer votre sexe. - Et quoi encore ? - On verra plus tard… - Je pense que je n’ai pas le choix ? - Non ! Je ne pense pas. Elle ...
... s’est levée, pour se hisser sur son bureau. Prenant place sur son bord. Comme je le souhaitais. Sans que je lui dise, elle a écarté les cuisses, exhibant ainsi en pleine lumière son sexe que je remarquais enflé. Il s’en est dégagé de ce dernier une senteur épicée de sueur et de pisse. J’ai pris place dans le fauteuil à roulettes. Je l’ai approché jusqu’à arriver entre les cuisses gainées de noir de ma chef de service. Le visage à hauteur du sexe entrebâillé, à présent. J’ai enfoui mon nez dans les poils pubiens odorants. La toison fournie était très bouclée. J’ai trouvé dans ce nid une moiteur qui m’excita davantage. Je n’ai pas pu me retenir d’y coller ma bouche. Écartant du bout de la langue les grosses lèvres gorgées de sécrétions. Elle a sursauté au contact de ma langue chaude sur sa vulve et grogna. La chatte avait un goût acidulé de pisse et de transpiration. J’ai aspiré les grosses lèvres sombres, les mâchouillais comme pour en extraire la mouille. Plus bas, le trou du cul était un petit cratère niché dans une couronne de poils à peine bouclés. J’ai léché entre ses fesses et je me suis attardé sur l‘œil plissé. Chaque coup de langue provoquait des sursauts chez Camille. - Ne vous attardez tout de même pas trop longtemps sur cet orifice ! Surtout que les collègues ne vont pas tarder à revenir du déjeuner. Je me suis refusé de répondre. Me contentant de me lever du fauteuil, puis de me défaire. J’ai frotté mon gland le long de la fente dégoulinante de mouille. Buttant ...