1. FANTASME AU BUREAU...


    Datte: 29/05/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Alainylon, Source: Hds

    -- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
    
    Pour ne pas trimbalé mon collègue pour cet aller-retour jusqu‘à Paris, j’ai attendu l’heure du repas pour aller chercher dans le bureau de ma chef de service mon ordre de mission. J’ai frappé deux coups pour la forme, sachant très bien qu’à cette heure j’avais peu de chance de rencontrer âme qui vive. Et je suis entré en toute innocence. Le spectacle qui m’attendait derrière la porte m’a émoustillé pour le restant de ma vie. Camille (donc ma chef de service) se trouvait sur place. Elle avait retiré son éternelle veste de tailleur pour laisser apparaître dessous un chemisier grand ouvert, sur un soutien-gorge en dentelle. Par transparence, j’ai perçus les larges mamelons sombres, mais aussi les tétons enflés avant qu’elle croise immédiatement les bras devant ses seins lourds.
    
    - Mais Alain ? Que voulez-vous ? Me disait-elle, le visage fardé de poupée décomposée.
    
    - En voilà une surprise ! Jamais je n’aurais imaginé en ouvrant votre porte, voir ce que j’ai là devant les yeux.
    
    - Il serait gentille que vous quittiez les lieux s’il vous plaît !
    
    - Et pourquoi le ferais-je ?
    
    - Parce que je suis dans mon bureau.
    
    - Oui ! Ça je le sais. Comme tout le monde de ce service le sait. Par contre, se qui ne savent pas c’est que vous vous tripotez pendant l’heure du déjeuner. Et croyez-moi, il va m’être très difficile à garder ma langue.
    
    Il ne lui en a pas fallu plus pour se décomposer à l’écoute de mes menaces.
    
    - Je peux ...
    ... avoir mon ordre de mission ?
    
    - Il est là ! Me désignant une feuille du menton, gardant ses mains pour cacher sa poitrine.
    
    Je m’en saisissais et alors que je m’apprêtais de sortir, Camille m’interpella :
    
    - Alain ! Rassurez-moi ! Vous plaisantiez en disant que vous aurez du mal à tenir votre langue.
    
    - Pas le moins du monde. Il m’a toujours été difficile de garder pour moi de tel secret.
    
    - Mais… mais…
    
    - Il n’y a pas de mais qui tiennent.
    
    - Que voulez-vous, de l’argent Alain ? J’ai sur moi 200 €.
    
    - Non, je ne veux pas de votre argent ! La seule chose qui ferait que je tienne ma langue sera que vous vous levez et retirez votre jupe, ainsi que votre culotte. Puis écartez les cuisses.
    
    - Je pense que vous me faite marcher là, Alain ?
    
    - Est-ce que j’ai l’air de plaisanter là, madame.
    
    Elle avait tout à perdre dans cette affaire, ou à conserver si elle se montrait intelligente. Je devinais qu’elle réfléchissait à toute vitesse. J’ai fais volte-face, puis j’ai fait le tour du bureau derrière lequel elle était toujours assise, et j’ai découvert sa jupe noire du tailleur déjà retroussée sur ses cuisses. Elle portait des bas, la jupe est relevée jusqu’aux jarretelles. Elle m’a fixé et j’ai pus lire dans ses yeux de la surprise mais aussi un certain rouble. Elle m’imaginait jusqu’à ce moment, professionnel, pas vicieux.
    
    - Le service ne croira jamais vos histoires.
    
    - Et s’il arrivait qu’il le croie ?
    
    Un lourd silence s’est installé entre nous. Elle a ...
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