Tranche de vie
Datte: 29/05/2020,
Catégories:
romance,
fh,
couple,
voisins,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Nicolas-photographe2, Source: Revebebe
... faire d’un coup. J’ai l’habitude de faire un peu de jogging au bois. Veux-tu m’accompagner ?
— J’ai hâte de voir ce que tu as fait hier soir, mais OK pour le jogging. Ça décrasse et ne peut pas faire de mal. Mais avant tout, je dois repasser chez moi pour me laver et m’habiller.
— Te laver ? Tu peux le faire ici. Et t’habiller, cela peut attendre.
— Je ne vais pas rester nue comme ça toute la journée !
— Et pourquoi pas ? Tu as honte de ton corps ?
— Ce n’est pas la question…
— Fais comme tu veux.
J’ai posé le plateau à terre et me suis recouché à ses côtés. Nous nous sommes caressés longtemps et avons fait l’amour tendrement et avec passion.
Lorsque nous avons émergé à nouveau, Arthur était de retour sur la chaise du secrétaire. Margaux l’a vu en premier. Comme moi dans la nuit, elle l’a traité de voyeur et lui a envoyé son oreiller ; avant que celui-ci l’atteigne, il avait sauté sur le lit entre nous deux. Nous avons joué un moment avec lui puis nous nous sommes levés et sommes allés vers la salle de bain, à celui qui y arrive le premier. Elle a gagné et nous sommes entrés dans la douche. Une fois les portes du pare-douche fermées, on peut tout se permettre sans risque de transformer la salle de bain en Venise miniature. Nous nous sommes tout permis, alternant jeux, caresses, arrosages et éclaboussures sans complexe. Margaux était déchaînée et n’avait plus rien de la jeune femme réservée et B.C.B.G. que j’avais croisée dans l’ascenseur 24 heures ...
... auparavant.
Une fois séché, je lui ai laissé la coiffeuse pour son usage personnel et me suis rasé. Fin de toilette. Fin de jeu.
— Il faut que je repasse chez moi me chercher une tenue plus adéquate que ça, me dit-elle en montrant son tailleur. Je reviens vite.
Elle m’embrassa en se collant contre moi. Je ne tardai pas à lui prouver d’une manière très concrète que ses caresses ne me laissaient pas indifférent…
— Voyez-moi ça, me dit-elle en prenant mon sexe tendu dans sa main. Mais c’est qu’il en redemanderait encore !
Elle se laissa tomber à genoux sur une serviette et me prit dans sa bouche. Ce n’était pas la première fois que l’on me faisait une telle gâterie, mais je dois dire que Margaux était particulièrement douée. Elle fit durer le jeu longtemps puis obtint le résultat qu’elle cherchait.
Je l’ai aidée à se relever. Regard voilé, lèvres humides, elle s’accrocha à mon cou.
— Vous êtes, Monsieur, le meilleur apéritif que je n’ai jamais bu.
Je l’ai embrassée longuement, caressant ses seins si doux et son ventre frémissant, puis sans autre forme de procès je l’ai plaquée contre le mur et l’ai pénétrée, profitant d’un reste de vigueur. Elle a joui quasiment de suite, ses jambes emprisonnant ma taille, ses pieds poussant sur mes fesses comme pour me faire pénétrer plus loin encore.
Nous nous sommes séparés à regret avant que la position ne devienne intenable. Après un dernier baiser, elle a pris ses vêtements et a traversé l’appartement, nue comme à son premier ...