Tranche de vie
Datte: 29/05/2020,
Catégories:
romance,
fh,
couple,
voisins,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Nicolas-photographe2, Source: Revebebe
... endormie.
— Viens, fais-moi l’amour maintenant.
Je me suis déshabillé puis l’ai rejointe au lit. Nos lèvres se sont tout de suite trouvées. Son corps et le mien se sont collés l’un à l’autre. Son ventre s’était plaqué contre le mien, animé de mouvements propres, prenant la mesure de mon désir évident. J’ai fait glisser le déshabillé de ses épaules puis l’ai serrée dans mes bras très fort. Mes mains caressèrent son dos doucement. Sa peau était lisse, fine, chaude. Je sentis sur mon torse les pointes de ses seins, dures. Elle posa ses mains sur mon cou. Remonta sur mes joues. Tourna mon visage de façon à avoir mon oreille près de ses lèvres.
— Tu feras doucement : je n’ai pas eu d’homme depuis trois ans. J’ai un peu peur.
— Tu seras ma petite vierge.
— Merci.
J’ai pris ses seins dans mes mains. Elle s’est cabrée. Je l’ai embrassée dans le cou puis entre les seins dans cette vallée tendre et si sensible, puis ma bouche a suivi un chemin descendant, traversant son ventre, s’attardant sur le nombril. Je la pris par les hanches et repris ma progression. Jamais je n’avais éprouvé une telle sensation de douceur. Son pubis était complètement glabre et doux. Ma langue courut dessus, explorant le haut de sa fente, cherchant les points sensibles. Il y en avait beaucoup. Chaque contact était salué par un frémissement, un soupir, un gémissement. Ses mains tenaient ma tête, la guidaient, ou au contraire soulageaient la pression. Lorsque mes lèvres happèrent son clito dur et ...
... tendu, elle feula comme une panthère, ouvrit ses jambes, bascula son bassin vers moi, s’offrant au maximum.
Je fis durer mon exploration, séparant les lèvres de son sexe de ma langue. Je la goûtais. C’était à la fois sucré et amer. Elle coulait comme un petit ruisseau. Chaque mouvement de mes lèvres ou de ma langue générait un petit bruit humide. J’entendis sa respiration s’accélérer, elle gémissait en permanence. Son bassin dansait une sarabande… J’avais du mal à rester en contact, mais je m’accrochais.
De sa poitrine naquit une longue plainte, rauque, animale, venue du plus profond d’elle. Elle remonta ses jambes sur mes épaules. Ma tête se trouva prise dans un étau doux mais ferme. Ma langue la pénétra au plus loin qu’il était possible et mes dents touchèrent son clito. Cela déclencha une explosion. Ses cuisses me serraient tellement fort que je crus étouffer. Son sexe coulait, inondant ma bouche de liqueur. Elle criait son plaisir. J’étouffais sous le carcan qu’elle m’imposait. Ses mains étaient comme folles, cherchant à écraser ma tête contre son sexe et à la repousser en même temps. Puis elle se calma. L’étau se desserra. Elle roula sur le côté. Silence.
Je me dégageai doucement et l’enlaçai par les épaules. Sa tête se nicha au creux de mon bras et s’appuya sur ma poitrine. Je sentis des larmes couler sur mes joues.
— Merci, merci. Qu’est-ce que c’est bon…
Je me suis mis sur le dos et l’ai fait basculer sur moi. À cheval sur mon ventre, son sexe chercha le ...