Flora (8)
Datte: 29/05/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Phantome, Source: Xstory
... convoitise.
Elle se recule pour admirer son travail.
— Laisse-moi une seconde pour me mettre à l’aise, ma chérie d’amour.
Crie Henriette à Martine alors qu’elle se penche vers elle pour la retenir. Ses mains attrapent les seins d’Henriette pendant qu’elle se démène pour sortir de sa robe moulante.
Martine regarde Henriette maintenant entièrement nue et s’émerveille de sa silhouette qu’elle a encore à son âge. Elle a toujours ses seins énormes, magnifiques, et un cul tout à fait adorable, une chatte aux lèvres gonflées, magnifique, et maintenant la sienne est complètement trempée.
Martine gémit quand le doigt baladeur de Jean la touche à nouveau, séparant ses grandes lèvres pour caresser les petites brillantes de jus. Ses cuisses s’écartent automatiquement, pour lui faciliter l’accès.
Cela se passe mieux que prévu, pense Jean en continuant de passer son doigt entre les lèvres de la chatte de Martine. Elle sera bientôt de nouveau ma maîtresse dès qu’Henriette l’aura bien fait jouir. Si je me débrouille bien, elle sera mon esclave sexuelle comme dans sa jeunesse. Je possèderai la fille et la mère !
Henriette s’agenouille ensuite entre les cuisses de Martine, baisse la tête et souffle doucement sur la chatte bien chaude de Martine qui lâche un gémissement presque inarticulé et s’empare de la tête d’Henriette, la forçant à plaquer sa bouche contre sa chatte fébrile.
Martine se redresse brusquement lorsque les doigts d’Henriette caressent sa poitrine, puis ...
... se resserrent autour d’un de ses tétons tout dur.
— OOOoohhhh, tu me fais tellement mouiller, Henriette...
Murmure Martine dans l’oreille d’Henriette mais Jean l’entend et comprime sa bite pour ne pas jouir.
Henriette recommence à embrasser sa chatte et à la lécher en passant sa langue entre les poils pubiens épais et noirs, pour la glisser du bas vers le haut avant de remonter vers son nombril puis vers ses seins.
Henriette fait ces va-et-vient plusieurs fois en insistant sur ses tétons raidis et son clito gonflé jusqu’à ce que Martine commence à trembler puis à hurler.
— OOOHHH, OUIIIIII, Henriette, ouii, ouiiiii, mords-le Henriette, mords mon clito !
Ce que fait Henriette et Martine crie encore plus fort le corps traversé de spasmes.
A peine remise de son orgasme, Martine regarde ma queue en érection et elle me supplie.
— Viens, Jean. Prends moi... comme avant... baise -moi.
Je passe sur son corps et je place mon sexe juste à l’entrée de sa chatte dégoulinante de cyprine.
— Oui ma belle salope, mais es-tu bien sûre que c’est ce que tu veux ?
Martine passe ses jambes autour de mon cul et avec ses quatre membres, elle me tire contre elle et s’écrit.
— Oh mon Dieu, ouiiiii ! Baise-moi ! Baise-moi plus fort que jamais ! Comme avant tu me baisais jusqu’à ce que je ne puisse plus jouir !
En souriant et pensant intérieurement que la partie est gagnée, que Martine est de nouveau à moi. Je fini d’enfoncer ma bite dans son vagin et je la baise ...