1. Flora (8)


    Datte: 29/05/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Phantome, Source: Xstory

    Martine a fini par céder à sa fille Flora qui la suppliais d’accepter l’invitation de son grand-père afin de renouer les liens de la famille.
    
    Lorsque Martine arrive chez Jean, son ex beau-père, il lui dit.
    
    — Enfin, je peux te revoir. Ça fait trop longtemps, tu m’as énormément manqué, Martine.
    
    Et il la serre dans ses bras avant qu’elle ne prononce un mot. Jean est surpris par la fermeté de ses seins qu’il presse contre lui pendant un moment plus long que la décence le permettrait. Il a l’impression de retrouver la jeune fille d’antan qui fut sa maîtresse pendant de longues années avant que son fils ne découvre leur liaison qui fut la raison de son lointain exil.
    
    Rien que de sentir ses tétons chatouiller sa poitrine, il décide qu’il va de nouveau redevenir son amant car à 40 ans elle le fait bander autant que lorsqu’elle avait l’âge de sa fille.
    
    De son coté, Martine sent contre sa cuisse le sexe dur de Jean et elle aussi, est surprise qu’il bande comme avant lorsqu’elle le rejoignait dans son appartement pour de longue baises qui lui apportaient tant de jouissances.
    
    Ils se séparent, se regardent, et Martine se surprend à penser.
    
    — Il est encore séduisant pour son âge...
    
    De son coté, alors que ses yeux parcourent son visage et son corps, Jean reconnait qu’avec ses formes un peu plus pulpeuses, elle est toujours aussi désirable, peut-être même plus !
    
    Martine s’aperçoit de l’examen minutieux de Jean et rougit comme une gamine de l’âge de sa fille, ...
    ... baissant ses yeux sur son chemisier blanc et sa jupe rouge qui lui arrive au-dessus des genoux.
    
    Arrivée dans le salon, elle aperçoit Henriette assise dans un fauteuil.
    
    — Martine, tu te rappelles d’Henriette... elle est passée me voir et lorsque je lui ai dit que tu devais venir aujourd’hui, elle a insisté pour t’attendre.
    
    Martine, un peu gênée, se rappelle très bien d’Henriette qui à l’époque de sa liaison avec Jean se joignait à eux pour des parties sexe endiablées qui n’en finissaient pas tellement elle était superbement salope.
    
    Henriette se lève pour la saluer en tirant sur sa robe encore plus courte que celle de Martine et elle la prend dans ses bras.
    
    — Quel plaisir de te revoir. Tu es resplendissante !
    
    Elle la serre très fort contre sa poitrine généreuse et Martine remarque qu’elle a toujours ses décolletés spectaculaires qui révèlent largement la grosseur de ses seins. Henriette l’embrasse sur la joue, près de ses lèvres et prenant Martine au dépourvu, elle presse sa langue sur ses lèvres comme elle le faisait en ce temps-là.
    
    Inconsciemment, Martine ouvre sa bouche pour la recevoir. Regrettant aussitôt son erreur, Martine s’éloigne, mais une agréable secousse d’électricité traverse son corps d’autant que la main d’Henriette a frotté son sein à travers le tissu fin de son chemisier.
    
    Elle s’assied dans le canapé et voyant le regard de Jean elle se rend compte que ses jambes sont très exposées dans sa position assise, et de nouveau elle se sent ...
«1234...»