La Grotte aux Fées
Datte: 27/05/2020,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
hplusag,
fplusag,
hagé,
fagée,
jeunes,
frousses,
copains,
forêt,
jardin,
parking,
voiture,
vengeance,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
Humour
policier,
aventure,
Auteur: Someone Else, Source: Revebebe
... disparu, et les deux gars, à peine rhabillés, passent devant moi sans me remarquer.
— Elle pue de la gueule, la vieille…
— Tu parles… et de la moule, aussi.
— T’as raison. Et si au moins tu n’avais pas l’impression de fourrer ta queue dans le con d’une jument ! Dans pas longtemps, on ne pourra même plus toucher les bords…
— Pareil pour son cul… Heureusement qu’elle paie bien, sans quoi elle irait se faire foutre… mais pas par nous !
Éclats de rire ; ils sont partis dans l’autre couloir.
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— Bon, c’est sympa, votre truc ; mais ces photos, on en fait quoi, après ?
— On fait comme on a dit : elles seront confiées à des personnes de confiance dont certaines ne sauront même pas que c’est notre assurance-vie.
— Je ne parlais pas de ça… Simplement de comment leur faire savoir que nous savons.
— J’y ai songé, figurez-vous. Maître Duchemin, leur notaire attitré, saura trouver les mots qu’il faut pour les réunir.
Ce qu’il y a de bien avec mon colonel, c’est que rien n’est jamais vraiment grave. Quand bien même il y aurait le feu à la maison, il garderait son calme.
— Et il va les convaincre de venir le voir, comme ça, d’un coup de baguette magique ?
— Peut-être pas magique, mais qui sait… De toute façon, j’en fais mon affaire, d’autant que je connais quelqu’un qui brûle d’apporter sa pierre à l’édifice.
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L’étude de maître Duchemin est située dans une vieille maison bourgeoise, et son parc, presque intégralement boisé, est immense. ...
... C’est d’ailleurs sur la fourche d’un grand chêne avec vue directe sur le bureau du tabellion que mon colonel, matériel en bandoulière, a pris place tandis que je planque dans un bosquet à proximité immédiate de sa fenêtre.
Si la position d’observation de de Mansy est parfaite, ma vue à moi ne me permet d’observer qu’une bonne moitié du bureau ; mais grâce aux talkies-walkies gracieusement mis à notre disposition par l’armée française, je reste en contact avec le colonel. J’entends sa voix grésiller dans mon écouteur.
— Il vient de faire sortir son clerc… Attention, c’est parti.
À quelques mètres de moi, Caroline vient d’entrer. Superbe ? Le mot est faible ! Je comprends soudain pourquoi de Mansy tient tellement à ce que je sois prêt à intervenir. Maquillée, coiffée de main de maître, encore plus blonde que blonde et vêtue d’une robe blanche qui la moule comme une seconde peau, elle est officiellement à la recherche d’un appartement.
— J’ai entendu parler d’un grand six-pièces avenue Foch… C’est bien vous qui en assurez la vente ?
— Absolument, Mademoiselle… Je vais vous chercher le dossier.
Planqué derrière mon arbuste, j’assiste alors à un petit numéro qui vaut son pesant de cacahuètes : la robe de Caroline est si ajustée qu’il est évident qu’il lui est impossible de porter quelque chose dessous, sans quoi cela transparaîtrait au travers de l’étoffe. Mais à côté de ça, cette même étoffe est si serrée qu’il est à tout jamais impossible à Duchemin d’apercevoir ...